Maika – accompagnée dans la quête de son passé par Kippa et Ren – a dû faire face à une terrible menace. Après avoir passé le plus clair de sa jeune existence à apprendre à se battre, il va maintenant lui falloir se faire des amis si elle compte s’en sortir ! La saga de fantasy de Marjorie Liu – magnifiquement servie par le dessin et la mise en couleurs de Sana Kaneda – se poursuit, et la tension monte d’un cran !
Monstress - T3 : Erreur fatale
Série : MonstressTome : 3/7Éditeur : Delcourt
Scénario : Marjorie LiuDessin : Sana Takeda
Collection : Contrebande
Genres : Comics, Science-Fiction
Public : Tout public
Prix : 16.50€
- ZOO4.5
Scénario
4.5Dessin
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Le synopsis du comics Erreur fatale
La critique ZOO sur l'album Erreur fatale
Pour échapper à ses poursuivants, Maika Demi-Loup se réfugie dans la cité de Pontus, attirant aussitôt l'intérêt des puissants sur cette ville. En échange de leur accueil, les autorités de Pontus exigent que la jeune femme et son monstre remplissent une mission particulière... Toujours aussi touffu et beau, Monstress se poursuit avec une inventivité pleine d'inspiration.
Maika, Kippa et Ren fuient à Pontus, ville neutre dans laquelle se trouvent de nombreux réfugiés arcaniques ayant échappé aux exactions humaines et à l'esclavage. Mais les cours arcaniques de l'Aube et la Nuit, tout comme les différentes factions humaines n'ont pas dit leur dernier mot : impatientes de mettre la main sur la descendante de l'impératrice shamane, elles comptent bien attaquer Pontus qui exige alors le secours de Maika.
Richesse est le maître mot de cette bande dessinée, tant au niveau de l'intrigue que du dessin. L'univers à l'ambiance très particulière y est aussi pour quelque chose : ses facettes sont si nombreuses qu'il ne s'épuise pas. Malgré tout, les ressorts politiques de l'histoire nous perdent parfois et le détail des forces humaines mériterait d'être développé. Cela reste de l'ordre du détail, car les objectifs de Maika, eux, sont clairs : échapper à celles qui veulent faire d'elle un instrument politique.
Le trait de Sana Takeda enchante, mêlant influences fantasy, art nouveau, steampunk et manga. Face à la profusion du dessin, on ralentit sa lecture pour ne rien perdre des environnements ouvragés et personnages hauts en couleurs qui se pressent sous nos yeux. On note d'ailleurs que les scènes d'actions se sont fluidifiées depuis le premier volume.
Dans la lignée des deux premiers tomes, ce nouvel opus en met plein la vue.
Commentaire et critiques (1)
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Le 30/01/2019 à 22h33
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