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Star Wars - Dark Vador - T2 : Dans le creuset (Novembre 2021)

couverture de l'album Dans le creuset

Série : Star Wars - Dark VadorTome : 2/4Éditeur : Panini Comics

Scénario : Collectif, Haden Blackman, Raffaele Ienco, Greg PakDessin : Augustin AlessioColoriste : Neeraj MenonTraducteur : Matthieu Auverdin

Collection : 100% Star Wars

Genres : Aventure, Comics, Science-Fiction

Public : À partir de 12 ans

Prix : 18.00€

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La critique ZOO

Note ZOO 4.0

Scénario

3.5

Dessin

4.5

Même débarrassé de l’ordre Jedi, l’Empereur Palpatine a quelques difficultés à imposer son nouveau règne et Dark Vador a fort à faire pour le protéger. Haden Blackman met l’Empereur dans une situation bien épineuse qui montre le duo Sith sous un jour nouveau, celui de la lutte pour leur survie. Le tout est magistralement illustré par Augustin Alessio.

Le jeune cadet Laurita Tohm se rend plein d’espoir à sa remise de diplôme, prêt à servir son Empire. Mais un attentat d’une brutalité inattendue va le propulser directement aux côtés de Lord Vador dans une course contre la montre pour la survie de l’Empereur. Seuls contre tous, ce duo incongru devra lever le voile sur un sombre secret Jedi, leur prison fantôme.

Dark Vador T.2

C’est un scénario bien osé que propose Haden Blackman. Non content d’attenter à la vie de Palpatine, il montre l’Empereur et son apprenti masqué dans une position de faiblesse que le lecteur ne leur connaît que trop peu. Au risque de faire hurler au ridicule les fans de l’univers Star Wars, Blackman dévoile des facettes trop peu explorées de ce monde : la vulnérabilité de l’Empereur face à ses ennemis et le pragmatisme non manichéen que les Jedis ont pu utiliser lors de la Guerre des Clones.

Côté dessin, Augustin Alessio manie la palette graphique avec délice pour dépeindre cette chronique sur le Seigneur noir. Alliant traits de personnages détaillés et coups de pinceau saccadés, il imprime à ce tome le ton de chaos qui lui convient parfaitement.

Fans de Star Wars, pardonnez ses offenses à Haden Blackman. Cassant le manichéisme parfois étouffant de la série mère, avec l’aide graphique précieuse d’Augustin Alessio, il rappelle que, allié ou ennemi, il n’est jamais bon de croiser la route de Dark Vador.

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