Un terrible et mystérieux virus sévit et transforme peu à peu les derniers humains en boules de poils. Les quelques survivants se terrent pour échapper aux câlins de ces créatures effroyables... Parmi eux, Kunagi voit ses compagnons se métamorphoser au fur et à mesure, et tente de survivre à cette apocalypse féline. Mais son handicap n'est pas des moindres... Il adore les chats !
Nyaight of the Living Cat T.1
Hawkman, Mecha-Roots, François Boulanger
Éditeur : Mangetsu
Scénario : Hawkman, Mecha-RootsTraducteur : François Boulanger
Collection : Mangetsu Seinen
Genres : Manga, Seinen
Prix : 8.20€
- ZOO5.0
Scénario
5.0Dessin
5.0 - Lecteurs0 critique
Le synopsis du manga Nyaight of the Living Cat T.1
La menace n'a jamais été reptilienne !
Mélanger le thème des invasions de zombies à celui de l’addiction aux chats mignons est-il une bonne ou une… excellente idée ?
On a déjà vu pléthore d’histoires de chats, il est temps de voir pléthore de chats tout court. Walking Cat était déjà une bonne surprise sur le sujet, mais il faut maintenant passer à la vitesse supérieure. Dans Nyaight of the living cat, les chats ne doivent pas survivre à la menace zombie, ils sont la menace zombie ! L’idée fait frissonner quand on connaît leur patience et leur naturel de chasseur ? Pas vraiment. La véritable angoisse vient de leur capacité à se changer métaphoriquement en liquide lorsqu’il s’agit de rentrer dans un espace où ils n’ont pas droit d’accès, mais surtout à faire fondre les cœurs quelle que soit la situation ! Ils sont insatiables, increvables, joueurs et craquants, mais leur contact entraîne une mutation immédiate en félin qui fait grossir la horde et prend le monde par surprise.
© HAWKMAN / MECHA-ROOTS 初版年
La fin du monde est pour demiaou
Un petit groupe de survivants de la catpocalypse affronte ses propres pulsions de câlins compulsifs, son amour immodéré pour ses surprenants ennemis et les difficultés inhérentes à la chute du monde civilisé. La série traite ces dilemmes avec un sérieux cinématographique qui renforce encore l’absurde hilarant de la situation, d’autant plus lorsqu’une énième survie sur le fil se conclut par une inquiétude candide et totalement hors de propos sur le bien-être de ces petites bestioles adorables ou lorsque les mesures anti-chats massives d’urgence s’avèrent des astuces de grand-mère pour cause d’obligation psychologique de non-létalité. Le mélange s’avère parfaitement dosé.