ZOO
couverture de l'album

Série : La déesse de 3000 ansTome : 2/2Éditeur : Kazoku

Scénario : Fumitaka KatoDessin : Fumitaka Kato

Genres : Manga, Seinen

Public : À partir de 12 ans

Prix : 7.95€

  • ZOO
    note Zoo2.5

    Scénario

    2.5

    Dessin

    3.5
  • Lecteurs
    note lecteurs
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Le synopsis du manga

A la recherche du sceau de Mitama, nécessaire à la signature des papiers du mariage, le petit groupe tombe sur un dieu effrayant : le père de Mitama ! Surprotecteur envers s a fille, celui-ci exprime mentalement tous s es sentiments. Et bizarrement seul Jûzô peut les entendre. Avec ce nouveau don, parviendra-t-il à survivre à cette confrontation ?


Veux-tu devenir ma waifu ?

Retour dans le plus étrange des premiers dates ! Mitama souhaite épouser un humain afin d’abandonner sa condition divine. Elle jette son dévolu sur Jûzô. Alors qu’ils partent en quête du sceau nécessaire pour consacrer leur union, ils rencontrent le père de Mitama : un dieu tout puissant et légèrement en colère…

Mitama est une déesse en jupette d’écolière et Jûzô un lycéen crédule. Le parfait match ! Les deux jeunes gens décident de se marier, l’une pour ne plus être une déesse et découvrir le monde des humains, et l’autre pour… Mais toutes sortes d’obstacles se dressent devant eux et l’autel : ils doivent retrouver le sceau de Mitama tout en voyageant dans un univers magique déroutant et en apprivoisant le futur beau-papa, un dieu de la foudre surpuissant.

La déesse de 3 000 ans est la première série de manga de Fumitaka Kato et… ça se voit. Le scénario et les dialogues (surtout les dialogues) sont si clichés qu’ils en deviennent presque bons. La jeune déesse a tout de l’héroïne nunuche, fan de sacs à main et de petites créatures ; Jûzô a tout du lycéen amoureux aux saignements de nez faciles. Le tout a le mérite d’être divertissant et même, le temps d’un chapitre, autoparodique !

La Déesse de 3000 ans T.2

La Déesse de 3000 ans T.2
© Fumitaka Kato, 2022

Ce sont l’univers magique et le dessin qui portent véritablement cette série, avec beaucoup de décors fouillés et de grandes doubles pages féériques où la végétation côtoie des vestiges urbains et mécaniques. Seul bémol : les personnages sont un peu figés et pas toujours bien intégrés dans ces très beaux décors.

Ce tome 2 se conclue sur l’apparition d’un kirin (« qilin ») qui n’augure rien de bon. On attend donc le troisième et dernier tome !

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