ZOO
couverture de l'album Avec un shikishi

Série : Le chat qui rendait l'homme heureuxTome : 3/11Éditeur : Soleil

Scénario : Umi SakuraiTraducteur : Sophie Piauger

Collection : Seinen

Genres : Manga, Seinen

Prix : 11.95€

  • ZOO
    note Zoo3.0

    Scénario

    3.0

    Dessin

    3.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
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Le synopsis du manga Avec un shikishi

Fuyuki Kanda est un homme seul et triste. Un jour, il décide d'entrer dans une animalerie où il remarque Fukumaru, un chat pas très beau, gros et plus très jeune. Ce dernier semble triste et désespéré car personne ne veut de lui. Pourtant, de manière inattendue, l'homme va l'adopter ! Ainsi commence l'histoire d'un quotidien plein de tendresse, entre un homme et un chat en mal d'amour.


THÉRAPIE TOUFFUE

Sérieux challenger dans la catégorie des noms de manga les plus longs, Le chat qui rendait l’homme heureux – et inversement fait mouche. 

Fukumaru est un chat indéniablement moche. Pataud, disgracieux, c’est le mouton noir de l’animalerie qui peine à le vendre. Les adoptions animales sont souvent une question d’atomes crochus et le coup de foudre tant attendu viendra finalement du passage de Kanda Fuyuki, un veuf désespéré qui, contre toute attente, trouvera en Fukumaru son prochain compagnon de vie. Les deux se créeront vite une bulle de tendresse qui apaisera leurs blessures respectives malgré une codépendance fusionnelle un peu extrême qui sera souvent source d’autant de rires que de larmes. Il leur faudra au moins ça pour survivre aux chocs psychologiques qui les ont façonnés.

Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement, Tome 3

Le chat qui rendait l'homme heureux - et inversement, Tome 3
© 2018 Umi Sakurai/SQUARE ENIX

GAGA DE SON CHAT

Qui aurait cru qu’il resterait encore des histoires de chats capables de faire fondre nos cœurs meurtris par le développement effréné d’un catalogue boursouflé qui se noie dans une surproduction pictographique féline dégénérative ? Parmi la myriade de petits minous, nous n’avions pas besoin de plus. Et pourtant, il fallait Fukumaru. Ce chat s’avèrera nécessaire pour surmonter, pour cicatriser, pour affronter une tristesse fondamentale et une solitude trop gourmande de leur joie de vivre. Destinés à mourir l’un sans l’autre, leur rencontre est salvatrice et chaque chapitre une victoire. Fukumaru, qui trimballe son propre bagage émotionnel n’en oublie pas de jouer les trublions d’une adorable façon qui fera perdre toute mesure à l’élégant humain qu’il appelle dorénavant papa.

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