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One Piece - La Malédiction de l'Épée sacrée - T2 (Mai 2015)

couverture de l'album

Série : One Piece - La Malédiction de l'Épée sacréeTome : 2/2Éditeur : Glénat Manga

Scénario : Eiichirô OdaDessin : Eiichirô Oda

Collection : Shônen

Genres : Aventure, Heroic fantasy, Manga, Shonen

Public : À partir de 6 ans

Prix : 9.60€

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La critique ZOO

Note ZOO 2.5

Scénario

2.5

Dessin

2.5

Il s’agit du deuxième tome et de la conclusion de La Malédiction de l’épée sacrée, qui adapte en manga cinquième film One Piece sorti en 2004 au Japon. Cette fin, tout en action, est aussi sans surprise.

Les villageois, guidés par leur prêtresse Maya, tentent d’arrêter la résurrection de l’épée sacrée. La jeune femme souhaite également faire revenir Saga, son grand amour, à la raison. Pendant qu’elle prie de toutes ses forces, Luffy et son équipage luttent pour la protéger du terrible Saga et transporter les sphères sur les tours. Zoro de son côté affiche ses intentions. Son apparente trahison n’avait pour but que de raisonner son ami d’enfance, envoûtée par un étrange maléfice. Un combat sanglant s’ensuit.

La conclusion du diptyque est sans surprise. Le récit beaucoup plus fade que la série d’origine manque toujours d’humour et de fantaisie. La trahison de Zoro n’a pas fait long feu et ne permet plus de relever une intrigue cousue de fils blancs. Les bases sont là pour ne pas perdre le lecteur, les personnages fidèles à l’origine et l’aventure au rendez-vous, pourtant le tome semble juste « faire le job » tant les relations entre les pirates du Chapeau de paille sont juste basiques.

L’histoire se révèle tout de même honnête même si les personnages secondaires décevants. En revanche, le dessin manque toujours de saveur en raison d’un procédé de captures d’écran. Les scènes de combat et d’action s’en sortent un peu mieux en termes de dynamisme et tant mieux car elles représentent l’essentiel du tome.

Le dénouement de ce récit en deux tomes ne recèle aucune surprise, bonne ou mauvaise. Cette fin est classique mais sans séduction. L’écriture ne sert pas au mieux des personnages d’ordinaire savoureux. En outre, l’adaptation du film laisse cette sale sensation de lire une histoire hachée.

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