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Pppppp - T6 : Lucky le génie

couverture de l'album Lucky le génie

Série : PpppppTome : 6/8Éditeur : Nobi Nobi !

Dessin : 3 MapolloAuteur : Traducteur : Anne-Sophie Thévenon

Adaptateur : Studio Charon

Collection : Shônen

Genres : Manga, Shonen

Prix : 7.20€

  • ZOO
    note Zoo5.0

    Scénario

    5.0

    Dessin

    5.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

La critique ZOO sur l'album Lucky le génie

Mimin doit affronter Meloli. Mais cette dernière lui demande de la choisir, de voter pour elle, de faire d’elle sa numéro une. Si Mimin ne comprend pas vraiment la demande de la jeune femme, elle sait une chose : Meloli a toujours été la numéro une dans son cœur.

Plus les volumes avancent, plus on se plonge dans l’esprit des différents protagonistes. Si Mimin laisse aller sa liberté et s’affranchit enfin des carcans qui l’entravent, lorsque c’est au tour d’un autre des frères de Lucky, les choses changent. Surnommé « le dieu vide », sa musique a la particularité de vous faire voir ce en quoi vous croyez le plus. Et pour Lucky, désormais, c’est en lui-même. Alors qui est cet étrange ego qui lui demande de le libérer ?

PPPPPP

PPPPPP © Nobi nobi !

Explorant une nouvelle fois le rapport à la famille, les liens fraternels qui unissent les uns et les autres et la force de la musique, PPPPPP tire doucement vers sa fin. Nombreux sont les adelphes à avoir déjà été convaincus par le petit dernier. Nombreux sont ceux qui le soutiennent en silence ou haut et fort. L’exploration des fantaisies musicales nous en dit énormément sur le caractère et la personnalité de chacun. C’est d’ailleurs un excellent moyen de voir les mutations qui s’opèrent, les changements d’état d’esprit, les réflexions qui prennent corps et deviennent tangibles.

Le rapport à la musique fait de PPPPPP un shōnen différent. Car il s’agit d’un titre d’action immobile : les scènes les plus épiques se déroulent alors que chacun est calé dans un fauteuil de spectacle, les dialogues intérieurs prennent vie, les combats se font grâce à des instruments. Le trait accompagne parfaitement cette mélodie : fluide et léger, avec des personnages aux proportions exagérées, mais qui résonnent, eux aussi, de leur propre musique.

Tandis que l’on approche de la conclusion, PPPPPP n’en finit pas de nous enchanter.


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