Anzu, le portrait-type de l'anti-héroïne, voit apparaître devant elle le magicien Riri. Ce dernier lui retire ses plus grands plaisirs dans la vie : les jeux vidéo, le chocolat et les chats. À la place, elle hérite d'une vie de rêve comme dans les mangas, entourée de beaux gosses qui lui courent après... Anzu parviendra-t-elle à rembarrer tous ses prétendants ou succombera-t-elle à l'amour ?
Romantic Killer - T1
Série : Romantic KillerTome : 1/4Éditeur : Soleil
Auteur : Wataru MomoseTraducteur : Studio Mankai
Collection : Shonen
Genres : Manga, Shonen
Prix : 15.00€
- ZOO4.0
Scénario
4.0Dessin
4.0 - Lecteurs5.01 note pour 0 critique
Le synopsis du manga
Rom-com tragédie
La magie de l’amour repose sur ces petits riens inattendus qui forment lentement le lien d’attachement nécessaire à la tendresse. Pas. Cette. Fois.
La romance, c’est surfait et inutile quand on a des rois démons à exterminer. Une vie faite de chat, de chocolats et de jeux vidéo se suffit bien à elle-même. Malheureusement pour Anzu, dont le quotidien de geek a atteint un certain degré de perfection, un monde magique qui court à la faillite la convoque soudainement sans son consentement. L’objectif tarabiscoté de son interlocuteur pseudo-féérique : faire grimper le taux de natalité japonais en poussant les personnes qui se concentrent sur leur passion à tomber amoureuses. Anzu se retrouve alors au contact constant de prétendants plus attirants les uns que les autres, sous des prétextes clichés aussi assumés que réprouvés par cette héroïne, ballottée de situations téléphonées en complots amoureux flagrants. Mais qui a besoin de l’attention constante de beaux gosses dans la vie ?
© ROMANTIC KILLER © 2019 by Wataru Momose / SHUEISHA Inc.
Amourette à la truelle
Romantic Killer surfe sur de nombreux poncifs violement balancés à la tronche d’une héroïne qui les voit venir avec un désespoir désabusé de plus en plus vif. Anzu ne demande qu’à s’échapper de cette nasse gluante de guimauve sentimentale, mais la menace est réelle, car réprimer la tentation facile demande une concentration de tous les instants tant les coïncidences stéréotypiques propices s’enchaînent sans interruption. La progression émotionnelle balisée, retardée par une héroïne puissamment récalcitrante, est enrobée d’interventions magiques totalement exubérantes.
L’enfer de la vie dans un shojo n’a jamais été aussi drôle.