C’est une œuvre d’art. Et une œuvre d’art, ça ne sert à rien ! C’est ça l’art !
C’est une œuvre d’art. Et une œuvre d’art, ça ne sert à rien ! C’est ça l’art !
C’est une œuvre d’art. Et une œuvre d’art, ça ne sert à rien ! C’est ça l’art !
La Castafiore, conspiratrice ! ! !... Si, au moins, c’était la conspiration du silence !
La Castafiore, conspiratrice ! ! !... Si, au moins, c’était la conspiration du silence !
Mille millions de mille sabords ! Quel est le sombre oryctérope qui a remplacé mon whisky par cet extrait d’eau de Javel ?
Mille millions de mille sabords ! Quel est le sombre oryctérope qui a remplacé mon whisky par cet extrait d’eau de Javel ?
La Castafiore ici ! ! !... Cataclysme !... Catastrophe !... Calamité !
La Castafiore ici ! ! !... Cataclysme !... Catastrophe !... Calamité !
La Castafiore ici ! ! !... Cataclysme !... Catastrophe !... Calamité !
La Castafiore ici ! ! !... Cataclysme !... Catastrophe !... Calamité !
Le yéto là-hi !... Le yéya là-ti ! Le téyi ho-là !... Flûte !... Le truc, enfin !... Le yéti, quoi !... Là-haut !
Le yéto là-hi !... Le yéya là-ti ! Le téyi ho-là !... Flûte !... Le truc, enfin !... Le yéti, quoi !... Là-haut !
Le yéto là-hi !... Le yéya là-ti ! Le téyi ho-là !... Flûte !... Le truc, enfin !... Le yéti, quoi !... Là-haut !
Lui se réveiller avec mal aux cheveux ! Connu !
Lui se réveiller avec mal aux cheveux ! Connu !
Lui se réveiller avec mal aux cheveux ! Connu !
Tchang est vivant ! Tchang est vivant ! Tout ça parce que vous avez rêvé de lui !... Moi, j’ai rêvé de Napoléon, cette nuit : ce n’est pas pour ça que je le crois vivant, moi !... Je ne suis pas une sorte de somnambule, moi !... Je regarde où je vais, moi !
Tchang est vivant ! Tchang est vivant ! Tout ça parce que vous avez rêvé de lui !... Moi, j’ai rêvé de Napoléon, cette nuit : ce n’est pas pour ça que je le crois vivant, moi !... Je ne suis pas une sorte de somnambule, moi !... Je regarde où je vais, moi !
Tchang est vivant ! Tchang est vivant ! Tout ça parce que vous avez rêvé de lui !... Moi, j’ai rêvé de Napoléon, cette nuit : ce n’est pas pour ça que je le crois vivant, moi !... Je ne suis pas une sorte de somnambule, moi !... Je regarde où je vais, moi !
Monsieur Lampion, j’ai toutes les assurances possibles et inimaginables… Oui, toutes !... Je suis assuré sur la vie, contre les accidents, contre la grêle, la pluie, les inondations, les raz-de-marée, les tornades ; contre le choléra, la grippe et le coryza ; contre les mites, les termites et les sauterelles… Toutes, je vous dis !... La seule assurance qui me manque, c’est une assurance contre les casse-pieds !
Monsieur Lampion, j’ai toutes les assurances possibles et inimaginables… Oui, toutes !... Je suis assuré sur la vie, contre les accidents, contre la grêle, la pluie, les inondations, les raz-de-marée, les tornades ; contre le choléra, la grippe et le coryza ; contre les mites, les termites et les sauterelles… Toutes, je vous dis !... La seule assurance qui me manque, c’est une assurance contre les casse-pieds !
Monsieur Lampion, j’ai toutes les assurances possibles et inimaginables… Oui, toutes !... Je suis assuré sur la vie, contre les accidents, contre la grêle, la pluie, les inondations, les raz-de-marée, les tornades ; contre le choléra, la grippe et le coryza ; contre les mites, les termites et les sauterelles… Toutes, je vous dis !... La seule assurance qui me manque, c’est une assurance contre les casse-pieds !
Monsieur Lampion, j’ai toutes les assurances possibles et inimaginables… Oui, toutes !... Je suis assuré sur la vie, contre les accidents, contre la grêle, la pluie, les inondations, les raz-de-marée, les tornades ; contre le choléra, la grippe et le coryza ; contre les mites, les termites et les sauterelles… Toutes, je vous dis !... La seule assurance qui me manque, c’est une assurance contre les casse-pieds !
Monsieur Lampion, j’ai toutes les assurances possibles et inimaginables… Oui, toutes !... Je suis assuré sur la vie, contre les accidents, contre la grêle, la pluie, les inondations, les raz-de-marée, les tornades ; contre le choléra, la grippe et le coryza ; contre les mites, les termites et les sauterelles… Toutes, je vous dis !... La seule assurance qui me manque, c’est une assurance contre les casse-pieds !
De toute cette histoire, je vous dis, moi, il y a une seule chose à retenir : ON N’EST VRAIMENT BIEN… QUE SUR NOTRE BONNE VIEILLE TERRE !
De toute cette histoire, je vous dis, moi, il y a une seule chose à retenir : ON N’EST VRAIMENT BIEN… QUE SUR NOTRE BONNE VIEILLE TERRE !
De toute cette histoire, je vous dis, moi, il y a une seule chose à retenir : ON N’EST VRAIMENT BIEN… QUE SUR NOTRE BONNE VIEILLE TERRE !
Pauvre Tournesol : il doit avoir du jeu dans ses rivets… Comment voulez-vous qu’un monument pareil puisse s’élever dans les airs ?... Autant jouer du cornet à piston devant la tour Eiffel en s’imaginant qu’elle va danser la samba !
Pauvre Tournesol : il doit avoir du jeu dans ses rivets… Comment voulez-vous qu’un monument pareil puisse s’élever dans les airs ?... Autant jouer du cornet à piston devant la tour Eiffel en s’imaginant qu’elle va danser la samba !
Pauvre Tournesol : il doit avoir du jeu dans ses rivets… Comment voulez-vous qu’un monument pareil puisse s’élever dans les airs ?... Autant jouer du cornet à piston devant la tour Eiffel en s’imaginant qu’elle va danser la samba !
Pauvre Tournesol : il doit avoir du jeu dans ses rivets… Comment voulez-vous qu’un monument pareil puisse s’élever dans les airs ?... Autant jouer du cornet à piston devant la tour Eiffel en s’imaginant qu’elle va danser la samba !
Vous êtes donc tous, n’est-ce pas, des descendants de Rackam le Rouge ? Bon. Et bien ! moi, je suis le descendant du chevalier François de Hadoque, qui tua jadis Rackam le Rouge en combat singulier… Et il y a des moments… où je sens remonter en moi les instincts belliqueux de mon aïeul...
Vous êtes donc tous, n’est-ce pas, des descendants de Rackam le Rouge ? Bon. Et bien ! moi, je suis le descendant du chevalier François de Hadoque, qui tua jadis Rackam le Rouge en combat singulier… Et il y a des moments… où je sens remonter en moi les instincts belliqueux de mon aïeul...
Vous êtes donc tous, n’est-ce pas, des descendants de Rackam le Rouge ? Bon. Et bien ! moi, je suis le descendant du chevalier François de Hadoque, qui tua jadis Rackam le Rouge en combat singulier… Et il y a des moments… où je sens remonter en moi les instincts belliqueux de mon aïeul...
Vous êtes donc tous, n’est-ce pas, des descendants de Rackam le Rouge ? Bon. Et bien ! moi, je suis le descendant du chevalier François de Hadoque, qui tua jadis Rackam le Rouge en combat singulier… Et il y a des moments… où je sens remonter en moi les instincts belliqueux de mon aïeul...
Messieurs, souvenons-nous des grandes erreurs judiciaires !… Cet homme est innocent : Tintin nous l’a dit. Allez-vous lui laisser ces menottes… et l’empêcher d’aller me chercher une bouteille de cognac ?
Messieurs, souvenons-nous des grandes erreurs judiciaires !… Cet homme est innocent : Tintin nous l’a dit. Allez-vous lui laisser ces menottes… et l’empêcher d’aller me chercher une bouteille de cognac ?
Messieurs, souvenons-nous des grandes erreurs judiciaires !… Cet homme est innocent : Tintin nous l’a dit. Allez-vous lui laisser ces menottes… et l’empêcher d’aller me chercher une bouteille de cognac ?
Messieurs, souvenons-nous des grandes erreurs judiciaires !… Cet homme est innocent : Tintin nous l’a dit. Allez-vous lui laisser ces menottes… et l’empêcher d’aller me chercher une bouteille de cognac ?
Messieurs, souvenons-nous des grandes erreurs judiciaires !… Cet homme est innocent : Tintin nous l’a dit. Allez-vous lui laisser ces menottes… et l’empêcher d’aller me chercher une bouteille de cognac ?
VENGEANCE ! VENGEANCE ! VENGEANCE ! VENGEANCE ! Canailles !… Emplâtres !… Va-nu-pieds !… Troglodytes !… Tchouck-tchouk-nougat !
VENGEANCE ! VENGEANCE ! VENGEANCE ! VENGEANCE ! Canailles !… Emplâtres !… Va-nu-pieds !… Troglodytes !… Tchouck-tchouk-nougat !
VENGEANCE ! VENGEANCE ! VENGEANCE ! VENGEANCE ! Canailles !… Emplâtres !… Va-nu-pieds !… Troglodytes !… Tchouck-tchouk-nougat !
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