Lors de sa sortie il y a plus d’un mois, l’application Pokémon Go n’a pas fait que susciter l’enthousiasme des fans ! Pikachu et sa bande se sont aussi attirés les foudres d’une commune française : Bressolles et son millier d’habitants.
Najat Vallaud-Belkacem a récemment relancé la traque anti-Pokemon Go, lors d’une conférence à l’occasion de la rentrée. La ministre y a dévoilé son projet d’éradiquer les Pokémon rares des cours d’écoles, prétendant ainsi éviter toute intrusion ou distraction préjudiciable à l’éducation des jeunes. Mais le ministère de l’éducation nationale n’est pas le premier à se soucier de ce phénomène...
Photo prise à l'occasion du dernier tournoi mondial Pokémon à San Francisco.
Après les enceintes militaires, les lieux de mémoire, les routes et les centrales nucléaires : c’était Bressolles, un village auvergnat qui tentait de rayer Pokémon Go de sa carte ! Dans un communiqué publié le 9 août, la mairie somme la Pokemon Company et Niantic de supprimer « l’implantation virtuelle et sauvage de Pokémon » sur son territoire. Par cette mesure municipale, le maire Fabrice Beauvois espère prévenir toute « propagation contagieuse et anarchique du phénomène Pokémon Go ». Espérons que la menace qui plane sur les Bressollois n’est pas aussi redoutable que la Team Rocket !
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