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Confidences à Allah

couverture de l'album Confidences à Allah

Éditeur : Futuropolis

Scénario : Saphia Azzedine, Eddy SimonDessin : Marie Avril

Genres : Récit de vie

Public : À partir de 16 ans

Prix : 18.00€

Le synopsis de l'album Confidences à Allah

Jbara vit les montagnes du Maghreb, entre ses parents, ses cinq frères et soeurs, et ses brebis. Elle rêve d’ailleurs, d’une modernité qui lui paraît inaccessible. Ignorant et violent, son père la ramène constamment à sa condition de femme, et donc de soumission. Pour tromper son ennui, Jbara couche avec les bergers de passage en échange de quelques friandises. Mais un jour, elle se retrouve enceinte. Elle est alors bannie du village et contrainte d’aller s’installer en ville. Pragmatique et désabusée, elle tente de s’en sortir et raconte sa vie : la misère, la prostitution, la prison, le mépris dans le regard des autres, ces hommes qui ne voient en elle qu’un objet sexuel… Dans ce monde qui ne veut pas d’elle, elle parle à Allah, son seul  confident.


Détails de l'album Confidences à Allah

Général

Type :

Bande dessinée

Éditeur :

Futuropolis

Collection :

Album

Nom de l'album :

Confidences à Allah

Numéro de tome :

Genres :

Récit de vie

Thèmes :

Femme, Maghreb

Cycle :

Auteurs

Scénario :

Dessin :

Marie Avril

Couleurs :

Traduction :

Édition

Format :

21.5 x 29 cm

Nombre de pages :

88

EAN :

9782754810739

Informations sur l'édition :

Édition originale

Détails de l'édition :

Date de parution :

Date de dépôt légal :

Juin 2015

Prix public :

18.00 €

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Commentaire et critiques (1)

note de la critique de L'historien

4.0

Après une adaptation théâtrale au Festival d’Avignon en 2008, le roman à succès de la franco-marocaine Saphia Azzeddine, "Confidences à Allah", fait l’objet d’une seconde adaptation, cette fois en bande dessinée.

Eddy Simon adapte le texte crû et sans concessions de l'auteure. Tout y passe: ses tourments, sa perte de foi, son impuissance face au monde, sa colère autant que son amour d’Allah, celui qui l’a mise sur cette terre. C'est beau.

Le 13/06/2015 à 23h28