ZOO

Mon père était boxeur

Attention, chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutesles notes attribuées sont remises au barème de ZOO de 1 à 5 étoiles.

Les 6 critiques Presse

5.0

Le 27/6/2017

Le témoignage au cordeau de Barbara Pellerin, accompagné du travail scénaristique de Kris, prend une dimension d’une folle humanité entre les mains du dessinateur Vincent Bailly. Un bonheur narratif et graphique conclut avec tendresse par un documentaire d’une force rare. Une BD qui renvoie dans les cordes et met KO.

4.0

Le 27/6/2017

Difficile non plus de ne pas mentionner le DVD, fourni avec l’album. L’image associée au son apporte l’authenticité et la retenue qui passent par un regard qui s’échappe ou une voix hésitante qui peine à prononcer les mots justes. Le tout forme un ouvrage touchant et poignant, bref, un indispensable.

4.0

Le 27/6/2017

Vous voulez plonger dans le quotidien d’une famille en pleine violence ? Approcher la relation complexe qui peut unir une fillette et son père, maladroit et monstrueux en même temps ? Et pourquoi pas être touché et accepter ces différences ? Mon père était boxeur vous offre ses clefs…

5.0

Le 27/6/2017

C'est l'histoire d'un homme qui avait l'habitude de se faire respecter avec les poings. C'est l'histoire d'une petite fille devenue grande qui souhaite raconter la vie de son père. Un véritable uppercut narratif et graphique !

5.0

Le 27/6/2017

Barbara Pellerin, avec l’aide du scénariste Kris se livre à une véritable introspection. D’une grande sensibilité, la BD aborde ce que ce père fut et ne fut pas. Barbara n’est pas non plus conciliante envers elle-même : elle s’est détournée de lui, doucement, et entretient une relation ambiguë au personnage, entre fascination et déception.

3.5

Le 23/1/2018

Barbara Pellerin nous invite à sa suite à la découverte d'un homme : son père. Les souvenirs fragmentaires qu'elle en garde portent essentiellement sur sa violence conjugale, ses comportements inexplicables pour une petite fille dans l'obligation de protéger sa maman. Un contexte si compliqué qu'elle le dit elle-même, elle en a oublié de l'aimer. Le dessin adopte, dirait-on, dans sa forme, un peu de cette vision parcellaire, plus de couleur que de forme, d'une jeune enfant myope, un peu flou, comme reconstituée. Les aquarelles rendent à la foi la peur, [...]

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