De Berlin à l’Oural, de Genève à Londres, entre manipulations neuronales et complot international, une aventure « james-bondienne » sur fond de guerre froide, espionnage et dérives de la science.

Blake et Mortimer - T29 : Huit heures à Berlin

Antoine Aubin, José-Louis Bocquet, Laurence Croix, Jean-Luc Fromental, Edgar Pierre Jacobs
Série : Blake et MortimerTome : 29/30Éditeur : Blake et Mortimer
Scénario : Antoine Aubin, José-Louis Bocquet, Jean-Luc FromentalDessin : Antoine Aubin, Jean-Luc FromentalAuteur adapté : Edgar Pierre JacobsColoriste : Laurence Croix
Genres : Aventure, Polar / Thriller
Public : Tout public
Prix : 16.50€
4.0
2 critiques- Lecteurs
3.1
5 notes pour 0 critique
Le synopsis de l'album Huit heures à Berlin
Détails de l'album Huit heures à Berlin
Général | |
Type : | Bande dessinée |
Éditeur : | |
Collection : | – |
Série | |
Série : | |
État de la série : | En cours |
Album | |
Nom de l'album : | Huit heures à Berlin |
Numéro de tome : | 29 |
Genres : | Aventure, Polar / Thriller |
Thèmes : | XXème siècle |
Cycle : | – |
Auteurs | |
Scénario : | |
Dessin : | |
Couleurs : | |
Traduction : | – |
Édition | |
Format : | 24,0 cm x 31,5 cm x 1,2 cm. 0.539 Kg |
Nombre de pages : | 64 |
EAN : | 9782870972366 |
Informations sur l'édition : | Édition originale |
Détails de l'édition : | – |
Date de parution : | 25/11/2022 |
Date de dépôt légal : | Novembre 2022 |
Prix public : | 16.50 € |

Commentaire et critiques (1)
Disons-le tout net : si le dessin d’Antoine Aubin est tout à fait à la hauteur (il a passé plus de 8 ans sur ces 8 heures !), le scénario de José-Luis Bocquet et Jean-Luc Fromental est bien charpenté, mais cela ne suffit pas. Un album de Jacobs peut se lire une seule fois et marquer pour une vie. Ici, nous avons un développement lent et visiblement documenté, mais est-il marquant ? Pas sûr... Un mois après sa lecture, qu’en aura retenu le lecteur ? L’histoire d’un homme qui a tenté de passer le mur de Berlin puis un certain nombre de péripéties qui se terminent avec le passage de Kennedy à Berlin entraînant une tentative de supercherie (mais n’en disons pas trop !).
Si on reprend l’album après une première lecture, c’est moins pour le relire que pour regarder la technique d’Aubin dans la construction de ses planches. Le résultat est finalement surtout spectaculaire par sa méticulosité à décliner la grammaire jacobsienne au service d’une histoire à laquelle il manque la passion, voire la folie qui se dégageait des scénarios de Jacobs. On aimerait que le dessinateur bénéficie d’un scénario qui lui permettrait de se transcender dans des séquences vraiment spectaculaires. Next time ?
Le 26/11/2022 à 01h26
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