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Il faut flinguer Ramirez - T2 : Il Faut Flinguer Ramirez (Édition Collector CANAL BD)

couverture de l'album Il Faut Flinguer Ramirez (Édition Collector CANAL BD)

Série : Il faut flinguer RamirezTome : 2/2Éditeur : Glénat BD

Scénario : Nicolas PetrimauxDessin : Nicolas Petrimaux

Genres : Polar / Thriller

Prix : 22.95€

  • ZOO
    note Zoo4.0

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Le synopsis de l'album Il Faut Flinguer Ramirez (Édition Collector CANAL BD)

Qui parviendra à flinguer... la rockstar du S. A. V. ? Falcon City est en émoi. Le lancement du Vacuumizer 2000 s’est transformé en une scène de crime macabre. L’inspecteur Eddy Vox est persuadé que le coupable n’est autre que Jacques Ramirez, un salarié de la Robotop fraîchement nommé « employé de l’année ». Quant aux hommes du cartel de Paso del Rio, ils n’ont pas dit leur dernier mot... C’est avec l’aide inattendue de deux célébrités en cavale que Ramirez parvient à leur fausser compagnie ! Alors qu’il avait planifié un week-end mémorable à Stone Creek, il se retrouve embarqué bien malgré lui dans une chasse à l’homme aussi explosive que pittoresque. L’occasion idéale pour régler certains conflits familiaux et profiter des richesses qu’offrent l’État d’Arizona.Dans ce décor majestueux, nombreux sont les candidats qui courent après Ramirez.


Apportez-leur la tête de Jacques Ramirez !

Avec ce deuxième tome d’Il faut flinguer Ramirez, Nicolas Petrimaux poursuit brillamment son thriller décalé, survolté et addictif.

Jacques Ramirez, le timide, muet et exceptionnel employé d’une célèbre compagnie d’électroménager, est-il l’impitoyable tueur d’un cartel mexicain que croient reconnaître en lui plusieurs personnes ? Suite à un enchaînement de quiproquos, il se retrouve aux côtés des deux fugitives qui ont volé sa voiture, des tueurs mexicains et des policiers étant à leurs trousses. Il s’ensuit une traque dans laquelle chaque instant compte.

Action débridée et humour mordant

Paru en mai 2018, le premier tome d’Il faut flinguer Ramirez a créé la surprise avec son mélange explosif et particulièrement bien mené. Avec ce deuxième tome, Nicolas Petrimaux poursuit sur sa lancée : scénario toujours inventif et malin, récit vif et dense, découpage nerveux, situations décalées, dialogues aiguisés, maîtrise de l’action débridée comme d’une grande variété de comique (de caractère, de situation, de destruction… humour mordant, sens du pastiche). Ce tome pousse même le bouchon un peu plus loin. Si le récit est étoffé par un retour en arrière et des éléments familiaux, les rôles sont davantage précisés et certaines révélations sont faites. Quant aux interruptions du récit effectuées par des publicités, affiches, pages de magazine… elles se multiplient, apportant des indications quant aux personnages, aux situations ou à des objets utilisés (véhicules, vêtements).

Un thriller décalé, survolté et addictif

Un thriller décalé, survolté et addictif

Ce parti pris narratif, rarement aussi poussé qu’il ne l’est ici, est souvent hilarant. Petrimaux jongle ainsi avec les codes de la culture marchande et/ou populaire et, mine de rien, véhicule une critique sociale et politique bien sentie.

ici, l'auteur jongle avec les codes de la culture marchande et/ou populaire

ici, l'auteur jongle avec les codes de la culture marchande et/ou populaire

Ce tome 2 d’Il faut flinguer Ramirez, tout aussi trépidant et réjouissant que le premier, confirme donc que Nicolas Petrimaux sait, avec brio, jouer sur plusieurs tableaux.

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