Il fait très chaud et Minusculette entraîne son ami Gustave le tamia vers l’étang pour y nager.
Il faut faire attention car les crapauds ne sont pas très accueillants. Gustave disparaît et Minusculette s’inquiète : ne s’est-il pas trop approché des crapauds ?

Minusculette : Minusculette en été

Série : MinusculetteÉditeur : L'école des loisirs
Scénario : KimikoDessin : Christine Davenier
Collection : Loulou & Cie
Genres : Aventure
Public : De 1 à 5 ans
Prix : 10.70€
- ZOO
4.0
Scénario
4.0
Dessin
4.0
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Le synopsis de l'album Minusculette en été
La critique ZOO sur l'album Minusculette en été
Pour profiter des dernières lueurs du soleil, plongez dans les nouvelles aventures de Minusculette en été ! Dans cet album plein de lumière et de chaleur, Kimiko et Christiane Davenier nous plongent dans la sérénité estivale !
C’est l’été. La chaleur a déjà gagné le cœur des arbres et de Minusculette, qui a décidé d’emmener son ami Gustave le tamia faire trempette. Même s’il a peur des crapauds régnant sur l’étang, ce dernier se jette dans le grand bain, mais disparaît aux yeux de la fée du jardin. Heureusement, en explorant les eaux profondes, Minusculette retrouve son ami dans le trou d’un rocher, où réside Pépita l’axolotl. D’origine mexicaine, la créature marine fait profiter ses deux invités de ses talents de cuisinière.

Ce qui donne à voir des scènes pleines de douceur et de tendresse. Avec son personnage de Minusculette la fée du jardin, Kimiko continue à voyager à travers la beauté des saisons. Dans Minusculette en été, le soleil de plomb déclenche de belles scènes d’amitié et de rencontres avec l’inconnu. Une bonne occasion d’initier le lecteur à l’esprit d’entraide et à la chaleur humaine, tout en dévoilant les espèces animales surprenantes dont recèle le monde.
Et quoi de mieux que le merveilleux trait de Christine Davenier pour illustrer cet incroyable spectacle de la nature ? Sa palette ne manque jamais de couleurs pour égayer la plongée des deux compères, leurs repas copieux, le flottement des lotus ainsi que le sommeil de crapauds. Comme, si du bout de son pinceau, l’illustratrice tenait à nous envelopper dans la quiétude des étés insouciants.
Car c’est dans cet état qu’on referme Minusculette en été, comme si l’album insufflait un vent de douceur avant que viennent les bourrasques mordantes de l’automne.
