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Nevada - T1 : L'étoile solitaire

couverture de l'album L'étoile solitaire

Série : NevadaTome : 1/5Éditeur : Delcourt

Scénario : Fred Duval, Jean-Pierre PécauDessin : Colin WilsonColoriste : Jean-Paul Fernandez

Collection : Néopolis

Genres : Aventure

Public : À partir de 12 ans

Prix : 14.95€

Le synopsis de l'album L'étoile solitaire

La ruée vers l’Ouest n’est plus qu’un souvenir que l’on peut maintenant voir sur grand écran grâce à l’industrie naissante d’Hollywood.

Nevada Marquez oscille entre les deux mondes, chargé par Hollywood des missions les plus improbables à la frontière américanomexicaine. L’enquêteur est chargé de retrouver un acteur disparu lors d’une virée à Tijuana… Une surprise l’attend au bout de la piste.


Détails de l'album L'étoile solitaire

Général

Type :

Bande dessinée

Éditeur :

Delcourt

Collection :

Néopolis

Série

Série :

Nevada

État de la série :

En cours

Album

Nom de l'album :

L'étoile solitaire

Numéro de tome :

1

Genres :

Aventure

Thèmes :

Cinéma , Détective, Mexique, Enquête, Etats-Unis

Cycle :

Auteurs

Scénario :

Dessin :

Colin Wilson

Couleurs :

Jean-Paul Fernandez

Traduction :

Édition

Format :

Nombre de pages :

EAN :

9782413010593

Informations sur l'édition :

Édition originale

Détails de l'édition :

Date de parution :

Date de dépôt légal :

Mai 2019

Prix public :

14.95 €

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Commentaire et critiques (1)

Curieux ce parti-pris de faire abstraction de toute onomatopée tout au long de cette histoire, hormis celle de la pétarade émise par la moto de Nevada et un seul échange de tir au fusil et au pistolet page 23. Pourtant, ça canarde sec avec toute une artillerie lourde constituée de mitrailleuses et même d'un engin lourd. Ainsi, le son est totalement coupé lors du duel final qui fait référence à l'une des oeuvres maîtresses de John Ford, L'homme qui tua Liberty Valence. Ce premier tome rappelle aussi certains films de Sam Peckinpah, La horde sauvage et Un nommé Cable Hogue.
Si Colin Wilson excelle dans les scènes d'action comme dans le rendu des paysages mexicains après plus d'une quarantaine d'années de pratique, il a toujours autant de mal a dessiner la bouche ou les lèvres de ses personnages aux traits parfois anguleux dans ses gros plans ou plans américains. Un défaut qui finit par sonner comme une marque de fabrique.

Le 07/06/2019 à 11h40