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Notre Amérique - T4 : Les révolutions meurent en automne

couverture de l'album Les révolutions meurent en automne

Série : Notre AmériqueTome : 4/4Éditeur : Futuropolis

Scénario : Kris, Maël

Collection : Albums

Genres : Historique

Public : À partir de 16 ans

Prix : 17.00€

  • ZOO
    note Zoo4.0

    Scénario

    4.0

    Dessin

    4.0
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis de l'album Les révolutions meurent en automne

Récit de Kris. Dessin et couleur de Maël


La critique ZOO sur l'album Les révolutions meurent en automne

Avec ce 4ème tome, Kris et Maël arrivent au terme de leur grande saga sur fond de révolution sociale à l’issue de la Grande Guerre, d’abord au Mexique, puis du côté de Chicago au début des années 30. À bien des égards on retrouve dans cet album l’ambiance du chef-d’œuvre de Sergio Leone, Il était une fois en Amérique.

Alors que Max Brunner est condamné à mort et Tina à une peine de prison de 30 ans, Julien, toujours passionné par la photographie, est devenu reporter photo. Coïncidence plutôt qu’un clin d’œil à Aimée de Jongh, Julien se retrouve comme le héros de Jours de Sable dans l’Oklahoma à photographier l’impact du Dust Bowl sur l’agriculture locale. Officiellement Max est mort sur la chaise électrique mais les autorités vont l’envoyer en Allemagne pour s’infiltrer dans le mouvement nazi.

Notre Amérique Tome 4 - Les révolutions meurent en automne

Notre Amérique Tome 4 - Les révolutions meurent en automne © Futuropolis, 2022

Parallèlement, dans les années cinquante, Mina, la fille de Tina et de Julien, enquête sur la mort de son père, persuadée que son assassin n’est autre que Max, revenu aux USA sous le nom de Jan Torsvan, auteur d’un livre relatant leur parcours commun et dont le film est déjà en cours de tournage. Mais Julien est-il vraiment son père ?

Le scénario de Kris ambitionne de raconter comment les mouvements sociaux aux Etats-Unis ont tous fini par échouer face au grand capital par ailleurs solidement épaulé par la mafia. Solidement documenté sur l’époque, ses personnages de fiction évoluent dans un contexte pleinement crédible tout en faisant évoluer leurs liens sentimentaux au gré des évènements qui les agitent.

Maël arrive au terme de cette histoire couvrant 239 planches et près de huit ans de travail. Son dessin très inspiré est resté homogène de la première jusqu’à la toute dernière page. Après leur superbe tétralogie de Notre Mère la guerre, parions que le duo se reformera pour une nouvelle aventure éditoriale car, comme on a coutume de dire : on ne change pas une équipe qui gagne !


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