ZOO

Mystery Society

couverture de l'album Mystery Society

Éditeur : Jungle

Scénario : Steve NilesDessin : Fiona Staples, Ashley Wood

Collection : Comics

Genres : Comics, Fantastique

Public : À partir de 12 ans

Prix : 16.00€

  • ZOO
    note Zoo1.5

    Scénario

    1.0

    Dessin

    2.5
  • Lecteurs
    note lecteurs
    0 critique

Le synopsis du comics Mystery Society

Nick Hammond et Anastasia Collins dirigent la Mystery Society, une agence d’investigation spécialisée dans le paranormal et les forces occultes. Mais la vie n’est pas rose pour nos enquêteurs de l’impossible. Non seulement ils vont chercher à résoudre le fameux mystère de la Zone 51, mais aussi, recruter une équipe façon "Mission Impossible" et régler leurs problèmes de couples !


La critique ZOO sur l'album Mystery Society

Qui n’a pas rêvé de percer les grands secrets des Etats ? La Mystery Society s’en charge, bien décidée à fouiner, chercher et révéler la vérité sur des phénomènes surnaturels connus et des expériences scientifiques menées par les gouvernements. Au-delà d’un ton décalé, l’intégrale des aventures de ce groupe laisse la désagréable impression d’un X-Files low-cost.

Les journalistes font le pied de grue devant une prison de haute sécurité pour interviewer la star du moment : Nick Hammond alias Nick Mystery. L’apparition du leader de la Mystery Society déchaine les foules, au point que cet homme va raconter l’histoire de son étrange groupe davantage à une horde fan qu’à des journalistes.

Mystery Society

Sans temps mort, les aventures issues du passé de Nick Mystery et son groupe s’enchaînent sur un ton décalé et plein d’humour. Dans l’enchaînement de l’action beaucoup d’éléments arrivent un peu trop fortuite même si l’humour atténue un peu cette mauvaise impression. Les personnages terriblement caricaturaux, comme Vernes ou le secret Skull, bien qu’attachants sont catapultés dans le récit sans la moindre explication préalable... Tandis que les méchants s’avèrent d’une bêtise sans nom tombant dans un ridicule consommé. Difficile avec ces différents éléments d’entrer totalement dans le récit, même au second ou troisième degré.

Heureusement Fiona Staples et Ashley Wood combinent les couleurs douces à un trait fluide pour faciliter la lecture de ce récit au rythme ultra-soutenu. Le dessin rend les protagonistes sympathiques ou cruellement stupides selon le côté où ils se trouvent. Une mise en forme qui emprunte à la caricature, appuyant le côté décalé de ce comics.

Mystery Society part d’une matière déjà tant de fois utilisée qu’il a du mal à marquer...


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