spitfire89

Version manga du célèbre animé, aucune surprise sur l'intrigue, de bon graphismes

Le Fire Power est l’arme ultime que les protagonistes tentent de s’approprier au temple, alors forcément, pour quelqu’un comme moi (entendez élevé au Club Dorothée), ça fait penser directement au Kamehameha de Dragon Ball. Pour les plus jeunes, les références iront plus du côté Marvel avec la série Iron Fist. Du coup l’action est partout et l’humour omniprésent est distillé avec beaucoup de finesse et les références sont très nombreuses et très intelligemment amenées. Les dessins apportent le dynamisme nécessaire à l’histoire et tout est magnifiquement contrôlé. Un régal.

Quête d’identités, secrets, rivalité, amour, amitié, respect, sont des thèmes abordés dans ce premier tome qui nous éclaire un peu plus sur l’histoire d’Owen et le mystère de ses parents. Et bien malin qui saura dire où va nous mener l’histoire qui est narrée ici en huis-clos, et c’est bien là ce qui la rend excitante et captivante.

Une approche inédite, intime et documentée de la vie de St Ex.

2 auteurs passionnés d'aviation nous font découvrir comment cette passion a jalonné la vie et l'oeuvre de l'auteur du Petit Prince. Bernard Chabbert, pilote-journaliste, fils d'un autre aviateur de l'Aéropostale ami de St Ex, et illustré par les superbes compositions d'un peintre-pilote exceptionnel : Romain Hugault.

Jessica Cioffi est une artiste ayant fait les Beaux-Arts de Bergame qui signe ses albums sous le nom de Loputyn. Elle se consacre au dessin et à l'illustration autodidacte.
Loputyn s’est fait connaître dans l’univers manga, entre autres, avec sa saga Cotton Tales. Son trait, caractéristique, est un savoureux mélange de traits typiques de l'école manga avec l'atmosphère et les couleurs de l'illustration européenne du XIXème siècle. Une magnifique rencontre graphique alliant plusieurs techniques pour nous livrer une atmosphère maléfique et ensorcelante, avec un léger bémol sur l’incarnation humaine du renard, qui reste un peu trop moderne pour le contexte. Cette originalité graphique compense un scénario un peu léger mais bien construit. Simple, l’histoire est courte en elle-même.
nous pouvons y voir l’allégorie de la rencontre qui nous permet de comprendre qui nous sommes vraiment, puis de construire son propre chemin et non celui dicté ou déjà tracé par nos pairs. Un one-shot agréable à lire, que les lecteurs apprécieront d’avoir dans leur bibliothèque pour le réel plaisir des yeux

Un nouveau tome dans la ligné du premier, on découvre plus sur les personnages, optimisme, écoute, force tranquille, douceur et brutalité. Jeux de pouvoir politique, religieux et militaire. Un second tome plus lent, une thématique aussi animalière avec l'apiculture, de nouveaux personnages, une tranche de vie et une aventure avec des complots.

"Il y a une légende à leur sujet. On raconte que les dieux auraient envoyé ces récits sacrées à Yojeh. Elles sont rares. Les femelles ne peuvent donner naissance qu'à un seul petit à la fois et il n'y a quasiment plus d'Ojû sauvages. Beaucoup d'Ojû vivent sous la protection de Yojeh mais pour une raison inconnue, il semble que ceux-ci ne peuvent pas mettre bas. Quand il y a une naissance dans la famille royale, la coutume veut que l'on lâche les Ojû dans les jardins en signe de reconnaissance des dieux. A cette occasion, un petit ôju sauvage est offert à la famille royale. Je me demande comment la personne chargée de le capturer arrive à l'arracher à sa mère. Tu as vu comment elle est sans pitié."

Un Seinen, mélancolique, émouvant, triste. Elin est attachante, on ressent beaucoup de compassion pour elle.

On troque donc la douceur de Créatures Fantastiques contre une dureté et une violence évidente.

Un tome toujours autant déjanté, un périple toujours mouvementé, une intrigue en exagération, situation loufoque, on reste dans la même ligné que les précédents tomes.

Nous poursuivons l'aventure dans la même ligné du premier tome. Zombies, loufoqueries, humours, Akira commence sa Bucket list, Ce manga mêle des sujets légers et sérieux. De bon graphismes, Pas d'essoufflement dans le rythme et l'intrigue. Un manga qui vous fait mourir de rire.

Une série de manga pour un publique adulte ou avertie, apocalypse zombie, genre Gonzo, de l'humour, de la folie, une saga déjanté dans la veine de Dandadan. De belles illustrations dans les tomes que j'ai découvert quelques trigger warning avec de la violence et de la nudité. On peu le classer aussi comme ecchi. Des personnages intéressants.