spitfire89

Cette BD est un O.L.N.I, une palette de graphisme coloré et lumineux, effet aquarelle, un univers post apocalypse, sport, politique, survie et action. Les personnages sont attachants, il y a de l'humour. Quand je pense sport dans un monde futuriste post apocalypse j'ai en tête rollerball, running man ou course de la mort, ici une balle au prisonnier sa surprend. L'univers dans ce premier tome nous tiens en haleine.

Future, Sport, Nature, Politique, Révolte sociale.

L'auteur Yukinobu Hoshino souhaite avec cette série offrir une suite à l'un des films cultes de Stanley Kubrick. Un grand format d'une beauté, composé de courtes histoires, de la préhistoire à l'exploration spatiale, un OLNI dans le paysage manga. J'ai eu beaucoup de chance de découvrir ce manga livre objet pour sa réédition chez un libraire de quartier lors d'un évènement SF. De beaux graphismes, l'auteur jouent sur le plan visuelle des graphiques, une belle expérience afin de nous faire découvrir l'immensité des étoiles. Des histoires riches et variés. Rencontre et émerveillements.

Un tome qui est la continuité de l'arc débuté dans le Tome 10. De nouveaux personnages font leur apparitions, on va en découvrir plus sur la soeur de Shy. Du changement avec notre héroïnes et son amie, de nouveaux combats qui permet de découvrir les capacités des deux camps. Toujours aussi prenant des graphismes immersifs.

Une histoire en finesse dans un album sépia qui se feuillette comme son propre album familiale, les monstres ne sont pas forcément ceux que l'ont croit.

Dans cette BD il n’y a finalement que peu de lien avec la romance s’étant créée entre Dustin et Suzie, la BD commencera en effet alors que le récit qui nous intéresse se termine. On rejoindra donc Dustin à la sortie du bus l’amenant au camp ; à son arrivée sur place, il se rendra compte que même au sein d’un groupe uniquement composé de petits génies scientifiques, il existe une hiérarchie sociale semblable à celle d’Hawkins – les inévitable « petites terreurs » seront également bel et bien présentes pour harceler les autres.

Le comics évoque certes rapidement les prémices de sa relation avec Suzie, l’essentiel tourne surtout autour d’une intrigue purement « slasher » mettant en scène un tueur arborant un masque d’Albert Einstein. Elle reprend donc les codes des slacher, de la nostalgie et des années 80's.

Un livre agréable, coloré et drôle, que les amateurs de l’univers de Stranger Things doivent absolument posséder. Avec une histoire amusante revenant sur les prémices des zombies, le grand plaisir de retrouver la bande des jeunes d’Hawkins et de se replonger dans les années 80 aux États-Unis, on passe un bon moment avec cette lecture qui détend bien.

Pour information, les comics de Stranger Things sont répartis de la façon suivantes, diviser en deux catégories : nous avons d’un côté les récits se basant sur les enfants prisonniers du laboratoire et victimes des expériences du docteur Martin Brenner, et de l’autre les histoires prenant place à Hawkins, parallèlement aux événements évoqués dans la série.

La Brute suit les événement d'Hawkins avec James et Troy – les petites frappes qui terrorisaient Mike, Lucas, Dustin et Will dans la première saison du show. L’histoire commence par l’humiliation subie par James et Troy lors de la première saison , puis Onze se venge des mauvais traitements infligés par les deux petites brutes aux héros de la série, et se prolongera au fil des pages jusqu’à la fin de la deuxième saison. Comme ils étaient complètement absents de la deuxième saisons. Greg Pak n’ avait plus qu’à créer une chronologie parallèle permettant aux personnages de se croiser.

En comparaison au autre opus la couverture de ce dernier opus annonce plus d'espoir et de lumière.

Pour nous remettre dans le contexte l'auteur a mis un récapitulatif dans les première pages, l'univers reste cependant complexe par les multiples personnages et histoires. Ce tome soufre de problème de transitions. Les graphismes reste subliment. J'aurai aimé que ce dernier opus soit moins rapide mais plus développé. Il faut être bien concentré pour la conclusion de cette saga cyberpunk, écologiste, sociétale et technologique.

Une histoire qui nous plonge dans une sorte de conte ou de fable initiatique, un Kawaï (mignon). La la lecture est très rapide voir trop trop rapide car peu de dialogue. Un sublime graphismes. Une belle moralité, amitié, courage, un duo attachant. Une jolie aventure dans ce one shot. Une intrigue que je conseille pour les 10-12 ans, mais en tant qu'adulte je me suis régalé avec les illustrations. Beaucoup de couleurs vivent.

Ce tome 3 est moins intense que les précédents, les personnages sont attachants, on perce de plus plus leurs origines, les secrets abondent. Toujours de beaux graphismes.

"- Si tu me refiles le menu fretin...
Et que tu gardes le gros morceau pour toi...
T'as intérêt à l'éclater, sinon je te tué !
- T'inquiète.
Je vais le pulvériser."





Ce tome est pure action, le Kaiju n°9 est tenace. On en apprend sur Kikoru en rencontrant sa mère et les différentes facettes d'Isao sont père. Narumi et le directeur Shinomiya révèlent leur plein potentiel. Un tome magistral.

Un récit sur la conquête spatiale doublé d'une réflexion à propos des fake news en étant construit comme un documentaire vrai-faux. Une uchronie qui s'inspire de la série For All Mankind de Ronald D Moore, la BD traite aussi de l’information et de son importance, du quoi qu’il en coûte, tous les moyens étant bons pour arriver à ses fins.

La Bd permet une expérience visuelle incroyable.

Un récit prenant et haletant, On s’attache très rapidement aux personnages, plongeant avec eux dans cet univers anxiogène et étouffant. C’est un magnifique album, une belle expérience visuelle pour un beau et gros volume de 160 pages qui se dévorent terriblement vite.

Un comics book très noir, notamment dans son dernier acte qui contribue à enrichir la mythologie de la série autour du laboratoire d’Hawkins et du Docteur Brenner. Il permettra également au lecteur d’avoir une vue d’ensemble un peu plus importante sur le nombre d’enfants détenus à Hawkins. La chronologie des faits est assez flou.

Une très bonne suite avec moins d'humours que le précédent tome, les choses sérieuses commence, les planches sont très bien illustré et coloré. Cette série Comics permet de retrouvé avec un grand plaisir de nombreux personnages de l'Univers Marvel mais aussi d'en découvrir de nouveau. Cela permet au fan de l'ensemble de la franchise de se régaler.

Nous retrouvons nos héros de Hawkings, ils découvrent ensemble les monstres légendaires et les aventures épiques du jeu de rôle Dungeons & Dragons. Bien avant que le terrifiant Démogorgon n’emmène l’un d’entre eux dans le Monde à l’Envers, Mike, Lucas et Will se lient avec Dustin pour la première fois, au cours du jeu qui définira leur enfance.

Le groupe va se souder à travers une histoire commune et des quêtes périlleuses, qui leur apprendront des leçons importantes sur l’amitié et les aideront à trouver le courage de résister aux petites frappes qui empoisonnent leur quotidien.



Après plusieurs BD nous retrouvons la bande d'ami à leur début bien avant le monde à l'envers. une BD de chez Mana books fraîche et réussit.

Nous suivons surtout Emily qui donne principalement son point de vu, les autres personnages sont deux frangins d'Asgard, un élémental à la Man-Thing, une fée, un Géant des Glaces, le petit Doyle Dormammu, rejeton maudit du régent de la Dimension Noire, gravitent autour de l'héroïne, entre autres personnages secondaires développés à leur rythme.

tous les personnages sont intéressants ou intrigants à leur petit niveau, et le groupe présente une réponse assez amusante au monde des enfants contre les conflits cosmiques des adultes. Des créatures de différentes races, de différentes origines, qui deviennent copains parce qu'ils sont encore assez jeunes pour ne pas avoir de monde à sauver, et parviennent à fonctionner en tant que groupe là où leurs équivalents plus âgés passent leur temps à se taper dessus. Strange est vu sous un autre regard que l'on peut voir dans d'autres histoires.
Un début de saga prometteur.

Un coup de coeur pour la version manga, un très bonne achat pour ma petite fille qui à bien grandi depuis le premier film est le manga est maintenant plus adapté pour elle. Une belle histoire avec de très beau graphismes .

Même si Mercedes est un personnage fort ses ennemis ne sont pas à la hauteur car les caractéristiques sont trops exagéré trop caricatural. Les rebondissements et la mise en scène de l'intrigue sont fade et parfois à vouloir trop en faire on dérape et cela gâche tout. L'histoire avance malgré c'est défaut.

À la lecture de ce premier tome on peut être effrayé par l'univers et la sémantique de Tomoyuki Hino, par la confusion et l'obscur.
Rassurez-vous, c’est normal. Cette histoire en trois volumes est en effet dérivée d’un jeu vidéo culte chez les amateurs de RPG, développé par Vanillaware, et sortie sur PlayStation 2 en 2007.

Des graphismes très travaillé, une intrigue entre Blade Runner, Clones, Matrix et Inception. Une Bd SF-Thriller, inquiétude et réflexion sur la technologie, sur le devenir de l'humanité. Un one shot de Scott Snyder plutôt connu pour les Batman chez Urban Comics. Clear est aux éditions Delcourt, c'est une critique social, cette univers nous happe, un final qui reste ouvert. Action, rebondissement, une psychologie assez profonde.