SuperMax

Profitant du festival d'Angoulême, je n'ai pu échapper à la déferlante Infinity 8. J'ai donc découvert cette nouvelle série aux auteurs prestigieux... Trondheim, Vatine... Avant tout chose, j'aime les comics. J'aime la série Z. Malgré ça, je n'adhère pas, scénario trop barré et quand même surtout à cause du dessin.

J'ai eu La Terre Promise pour Noël... album plutôt sympa à lire, même si les références aux Aventures de Rabbi Jacob sont quand même nombreuses...

Je trouve que le scénario de BEC - que j'aime pour autant - manque sur ce premier tome d'originalité. Le dessin de Jaouen en revanche est sublime...

Sur des textes d'Erwan et Renan le Breton, 3 dessinateurs racontent 4 histoires pleines de petits êtres elfiques, de dragons, de bardes... Couverture et planches magnifiques.

Dans une forêt sombre et humide vivent des dragons et des hommes. Dans ce contexte se forge le destin du petit Lomm, bébé humain, né accidentellement d'une maman dragon.

Cette série, au graphisme oppressant et puissant, frappe par la simplicité et la rudesse de son propos. Naître, vivre, mourir, voilà l'essentiel.

Bill Baroud a été jeune ! Gamin, le futur sauveur de la planète rêvait déjà d'aventures fabuleuses, de paysages exotiques, de femmes fatales et de FBI tout simplement !

En racontant l'enfance de son héros, Larcenet réussit le plus difficile : mêler les gags et l'hilarité aux sentiments, ainsi qu'à un certaine forme de gravité... ce qu'il maîtrise maintenant parfaitement, comme la démontrer sa série Blast.

Morgana repose sur des fondations disparates, parfois énigmatiques mais pour autant armonieuses. Premier épisode d'un empire médiéval galactique, La porte du Ciel ouvre de vastes perspectives.

Premier tome d'une série aux allurs historiques dans un empire imaginaire, cette enquête policière est avant tout une intrigue politique sur fond d'histoire d'amour.

Ce premier album est beau, dense, relativement bien fait... même si le scénario est prévisible.

A bientôt seize ans, Tessa abandonne ses tenues de lycéenne pour son survêtement moulant pour devenir la 42ème agent intergalactique. Le temps d'un songe, Tessa assure la paix dans un cosmos menacé par le retour du Sideral Killer, nom du premier tome de la série...

Ce pastiche très réussi de Nicolas Mitric au scénario et de Louis au dessin, nous révêle par rebonds successifs l'absurdité de la vie, de l'univers et du reste.

Avec une réelle dextérité, Les auteurs Rocca et Fino signent un remarquable polar futuriste, soutenu par une mécanique narrative usinée : à l'issue de ce premier épisode au trait assuré, nul ne peut présager de la culpabilité ou de l'innocence de Jude de Salvo, troublante légiste... qui voit réapparaître l'ombre de son arrière-grand-oncle, l’Étrangleur de Boston, criminel des années 60.

A travers les "aventures" de Saito, jeune interne de C.H.U, Shuho nous livre un véritable pamphlet disséquant le milieu hospitalier du Japon, et de sa gestion "fric".

Alternant mise en scène intimiste, introspective et reportage, Say Hello to Black Jack est un manga punch sur un sujet dont on parle trop peu, et qui arrive progressivement en France. La Médecine dictée par l'économie capitaliste.

Snikt, album sorti il y a plus de dix ans, est sans doute l'une des premières démonstrations, éblouissantes, de ce que peut donner, graphiquement le mariage de la culture US et du manga.

Saint-Trop, Tony Corso, privé beau gosse et un peu frimeur, est embauché par la comtesse Volodine pour retrouver les traces d'un amant indélicat. Evidemment, Corso met le doigt dans un sac d'embrouilles plus compliqué à démêler que prévu...

Ce premier tome obéit au genre du polar classique, aux ficelles bien connues, mais qui réussit à convaincre grâce à un bon sens du rythme, une galerie de personnages bien amenée, et quelques dialogues qui font mouche.

Toujours traqués, toujours en possession de la Boite de Pandore escamotée à Moscou, les frères réconciliés poursuivent leurs échappée.

Réseaux mafieux, clonage, traquenards et trahisons, le sixième Opus de Vlad, Opération Déluge, exploite sans les épuiser toutes les pistes capables de guider cette aventure de politico-fiction vers davantage de crédibilité.

D-Day, auquel on préférera le titre original de Life eaters (Les mangeurs de vie), repose sur un scénario dense et gonflé.

David Brin et Scott Hampton peignent sur fond de Seconde Guerre Mondiale une fresque de sang et d’intelligence où dieux et hommes s'affrontent, aussi bien en joutes armées qu'en passes philosophiques.