SuperMax

Quelques gags sont un peu convenus mais j'ai trouvé que l’ensemble est de bon niveau, avec parfois la possibilité d’une double lecture, entre les adultes et nos enfants. Pas si mal !

Album super plaisant, comme le premier. :-)

Ce premier volume de Sakamoto pour vous servir ! se décompose en 5 histoires où le génie du personnage principal se mêle à son comportement social hors-norme. L'histoire est folle, donc drôle. Le dessin est beau. Pour un premier jet, il s'agit d'une réussite, tant sur le fond que sur la forme.

L'originalité de ce tome est de proposer un chapitre en mode comic-book pour illustrer les activités d'une filiale américaine de Kurosagi, façon les Experts : Los Angeles. Une petite récréation.

Mr Nobody se distingue de la majorité des manga par un dessin fouillé plein de hachures et séduisant en première impression. Cependant cette profusion d'informations n'aide pas au final à la lisibilité du récit, d'autant moins que l'auteur se plait à brouiller les pistes de son thriller, à zappeur dés qu'un personnage semble sur le point de se lancer dans un explication ou de faire avancer l'intrigue.

Avec Harvest Breed, c'est une aventure de Batman très picturale, aux couleurs époustouflantes et au scénario absolument diabolique.

Quelle surprise avec ce 4ème tome ! Notre l'oser préféré s'est trouvé un job presque normal ! assistant enquêteur pour une agence de détectives. Album toujours aussi hilarant, mélange de crash sans la moindre retenue (sexe, humiliations, scato etc.) et de situations pathétiques. Indispensable !

Sorcière au caractère bien trempé, Magda arnaque les antiquaires parisiens pour mener à bien sa petite vie en attendant de trouver du travail. Cette histoire nous transporte avec une facilité déconcertante dans la vie de la magique Magda avec son lot d'évènements sombres, de romance mais aussi d'humour.

Cette fois Soeur Marie-Thérèse va aller semer la zizanie dans un couvent de province. Le reste est conforme à ses habitudes... De l'humour gras porté sur le cul, le vin et la grossièreté de notre chère bonne soeur. Un vrai bonheur !

3 putes et leur secret, des clients qui sentent le sapin, un médecin radié pour usage de stupéfiants, un ex-légionnaire justicier social, des triplés aussi bêtes que voleurs et un dealer d'escargots : Nicolas Dumontheuil déploient la panoplie de l'univers faubourien pour ce thriller ubuesque à la sauce bordelaise.

Tragique, poignante et vraie, l'histoire scénarisée par Flip et dessinée par Efix est avant tout celle de leur amie Kate, K pour les intimes, une jeune femme d'origine coréenne, abandonnée à la naissance et recueillie par une famille française.

Une narration à couper le souffle menée sur 3 espace-temps différents, un dessin énergique, un noir et blanc soigné et une touche de poésie pour enrober le tout.

De retour des vacances, je me suis procuré ce 4ème tome, et quelle claque. Alors que je m'attendais de nouveau à de grandes batailles, voire d'assister à la Grande bataille, la finale, le scénario temporise l'action et intègre des nouvelles parties au puzzle, préssenties depuis le tome 2. C'est dense et bien ficelé. Le dessin reste de très haut-niveau, comme vous pouvez le constater sur les premières planches visibles. Grandiose. Il faut que j'attende le tome 5 maintenant :-(

John Constantine, petit escroc anglais, est condamné à purger une longue peine de prison dans un pénitencier américain. Personnage atypique, il va tenter de se faire une place au soleil derrière les barreaux...

Comicbook culte par excellence, ce premier épisode est au service d'un récit ultra-violent où l'humour noir n'est pas absent.

Si l'histoire n'est pas d'une originalité surprenante, le périple du héros John Masanori n'en est pas moins habilement raconté et ravira tous les amateurs d'histoire de mafiosi. Certaines séquences sont franchement malignes et, si on met de côté l'aspect dessin encore fort malhabile de l'entreprise.

Le scénariste argentin Zentner mêne une envoutante danse avec le temps... Son héros, Don Walden, a décidé qu'il ne devait jamais revenir en arrière. C'est à ce prix seulement qu'il préserverait sa chance aux jeux, et donc, son moyen de subsistance.

Ce dernier album du cycle se boucle formidablement bien. Un road-movie ensorcelant servi par la peinture d'un superbe dessinateur : Sala.

Ce premier tome d'Harkhanges propose son lot de divinités toutes puissantes, de sorciers aux pouvoirs dévastateurs. L'humour est un peu trop potache.

Le récit est rempli de clins d'oeil et de verve, le dessin plein de fougue et de plans spectaculaires. Mais le résultat est trop ardu pour que le lecteur se laisse sereinement porter par l'histoire. D'ailleurs la série est restée au tome 1.