SuperMax

L'auteur nous emmène cette fois-ci dans le monde enchanté des contes, celui développé par les studios Walt Disney. C'est toujours aussi naif et cruel !

Entre Quiproquos et situations rocambolesques, cette nouvelle série, au premier tome très riche est un bon délassement. 2 bémols néanmoins. D'une part, les planches très chargées, et un découpage trop foisonnant, nuisent à la fluidité de l'histoire, d'autre part, une couverture, sans grand rapport avec l'intrigue.

Dessin superbe, couleurs sublimes, personnages attachants. Malheuresement ce premier tome déçoit, due principalement à une narration qui se cherche. heuresement que les prochains tomes permettent de mieux rentrer dans cet univers fantaisiste riche et décalé.

Luka est plongé dans une somlbre histoire à laquelle la mafia n'est manifestement pas étrangère : trafic de clandestins, flics pourris, gamins des cités assassinés, commissaire intègre à l'hopital...

Ce 8ème tome est de mon avis le meilleur.Il possède une nervosité, une mélancolie qui rythment singulièrement ce polar social, où sont abordés dans toute leur complexité des faits de société contemporains.

Paris-londres permet de redécouvrir les débuts de Sfar, et de constater qu'il ne maitrisait pasencore totalement l'écriture comme il sait si bien le faire depuis quelques années déjà. Cet album permet également de découvrir des personnages apparus chez divers éditeurs depuis. Interessant comme édition, surtout pour les mordus de Sfar.

Si l'intrigue et ses jeux sur letempssont complexes,nous les suivons sans trop de difficulté, avec unplaisir certain auquel la beauté et la richesse de ce dessin animalier ne sont pas étrangères.

Eric Liberge décline le mythe du fantôme et poursuit sesvoyages dans les terres de l'au-delà. Le scénario nous plonge dans une intrigue ténébreuse reposant sur un fait réel :l'affaire du monastère de Borley. Une nonne est emmurée vivante,mais son esprit survit et hante les hommes à travers les époques. Coté dessin, nous sommes à la croisée de l'infographie et de la gravure au trait nerveux et élégant.

Sociologue de son état,Luka collabore occasionnellement à des enquêtes de police, afin d'en révéler les faces cachées. C'est à Marseille, sa ville d'adoption, qu'il enquête sur le meurtre d'un gamin d'une cité, crime qui, s'il n'est pas élucidé rapidement, risque de mettre le feu aux poudres.

Malgré quelques raccourcis ou clichés, cet album utilise certaines réalités marseillaises pour y placer une intrigue assez riche et sombre dans laquelle les problèmes de société bousculent l'exigence de Luka.

On découvre dans cet album la jeunesse de Choc, ce personnage à la Fantomas. Monsieur Choc achète le manoir de Knightgrave pour en faire le tombeau de sa mère. En s'y promenant, les souvenirs de son enfance reviennent en sa mémoire. Enfance difficile, expliquant sa personnalité de méchant mondial. Un premier tome de très bonne facture. :-)

Ce premier tome de ce beau diptyque nous dévoile les amours de Léonard de Vinci, en retraçant de façon romancée son histoire avec Gian Giacomo Caprotti, surnommé le Salai par Leonard, c'est à dire le diable en italien. Le dessin est magnifique, en particulier les doubles pages, surprenantes de détails et de finesse.

J'ai aimé l'imbrication des 3 récits qui ont lieu dans cet album. J'attends donc avec impatience le 2ème tome pour lire la suite de l'aventure.

Cet album joue des genres dans une atmosphère pleine de suspense. très bon.

De très belles illustrations pour cette suite, et toujours dans la même lignée des deux premiers tomes, à lire sans modération

Voilà un second tome qui offre une conclusion vraiment efficace et captivante à cette histoire. La fraternité se révèle au final humaine devant ses peurs et ses convictions et son égoïsme, le monstre n'étant là que pour servir de détonateur à une fraternité déjà au bord de l'explosion. Un trait vraiment réussi et une colorisation sombre et efficace viennent soutenir cette histoire aux personnages captivants, surprenants et attachants. La conclusion offre un message clair et efficace, un diptyque à découvrir.

Excellent scénario, très cinématographique : la population de la planète se trouve reliée à ce que voit, sent, et ressent un homme dès lors qu'on ferme les yeux. Les auteurs auraient pu aller encore plus loin dans l'audace scénaristique, et ils décident de s'en tenir à suivre les péripéties d'un héros qui perd peu à peu les pédales (mais qui ne les perdrait pas à sa place ?). C'est toujours bourré d'humour et en même temps bien vu.

Toujours de très beau dessins mais l'histoire reste classique avec les bons et les méchants. Dommage. Ce dernier tome de cette belle aventure fantastique est plus violent et moins imaginaire.