Allège les taxes, baisse tes impôts, ouvre des hospices pour les vieillards et les indigents, augmente les jours de fête annuels, organise des festivités... Que sais-je !? Une fois leur avenir moins sombre, leur vie quotidienne moins pénible, tes sujets abandonneront vite l’idée de suivre les chimères du désespoir...
Allège les taxes, baisse tes impôts, ouvre des hospices pour les vieillards et les indigents, augmente les jours de fête annuels, organise des festivités... Que sais-je !? Une fois leur avenir moins sombre, leur vie quotidienne moins pénible, tes sujets abandonneront vite l’idée de suivre les chimères du désespoir...
Allège les taxes, baisse tes impôts, ouvre des hospices pour les vieillards et les indigents, augmente les jours de fête annuels, organise des festivités... Que sais-je !? Une fois leur avenir moins sombre, leur vie quotidienne moins pénible, tes sujets abandonneront vite l’idée de suivre les chimères du désespoir...
La liberté n’a pas de prix ! C’est l’unique richesse qu’on ne peut jamais épuiser ni dérober et surtout... la seule qui mérite qu’on périsse en luttant pour la conserver !
La liberté n’a pas de prix ! C’est l’unique richesse qu’on ne peut jamais épuiser ni dérober et surtout... la seule qui mérite qu’on périsse en luttant pour la conserver !
La liberté n’a pas de prix ! C’est l’unique richesse qu’on ne peut jamais épuiser ni dérober et surtout... la seule qui mérite qu’on périsse en luttant pour la conserver !
Je ne crois ni aux prophéties ni aux prédictions ! L’homme libre décide de son propre destin, quand bien même cela déplairait à nos dieux.
Je ne crois ni aux prophéties ni aux prédictions ! L’homme libre décide de son propre destin, quand bien même cela déplairait à nos dieux.
Je ne crois ni aux prophéties ni aux prédictions ! L’homme libre décide de son propre destin, quand bien même cela déplairait à nos dieux.
Cesse ce jeu cruel, Syrane. Je sais qu’en croyant bien faire, j’ai commis une terrible faute. Inutile de retourner ton poignard dans mes plaies, elles me font bien assez souffrir sans ton aide.
Cesse ce jeu cruel, Syrane. Je sais qu’en croyant bien faire, j’ai commis une terrible faute. Inutile de retourner ton poignard dans mes plaies, elles me font bien assez souffrir sans ton aide.
Cesse ce jeu cruel, Syrane. Je sais qu’en croyant bien faire, j’ai commis une terrible faute. Inutile de retourner ton poignard dans mes plaies, elles me font bien assez souffrir sans ton aide.
La tendresse, la confiance, l’amour et la chaleur de nos enfants seront nos meilleurs armes.
La tendresse, la confiance, l’amour et la chaleur de nos enfants seront nos meilleurs armes.
La tendresse, la confiance, l’amour et la chaleur de nos enfants seront nos meilleurs armes.
Véronar, sans doute es-tu de ces êtres à qui la cruauté tient lieu d’autorité et d’intelligence. Mais à mes yeux, tu n’apparais que comme le plus ignoble tas de stupidité graisseuse qui soit jamais sorti d’une femme !
Véronar, sans doute es-tu de ces êtres à qui la cruauté tient lieu d’autorité et d’intelligence. Mais à mes yeux, tu n’apparais que comme le plus ignoble tas de stupidité graisseuse qui soit jamais sorti d’une femme !
Véronar, sans doute es-tu de ces êtres à qui la cruauté tient lieu d’autorité et d’intelligence. Mais à mes yeux, tu n’apparais que comme le plus ignoble tas de stupidité graisseuse qui soit jamais sorti d’une femme !
Véronar, sans doute es-tu de ces êtres à qui la cruauté tient lieu d’autorité et d’intelligence. Mais à mes yeux, tu n’apparais que comme le plus ignoble tas de stupidité graisseuse qui soit jamais sorti d’une femme !
Véronar, sans doute es-tu de ces êtres à qui la cruauté tient lieu d’autorité et d’intelligence. Mais à mes yeux, tu n’apparais que comme le plus ignoble tas de stupidité graisseuse qui soit jamais sorti d’une femme !
Véronar, sans doute es-tu de ces êtres à qui la cruauté tient lieu d’autorité et d’intelligence. Mais à mes yeux, tu n’apparais que comme le plus ignoble tas de stupidité graisseuse qui soit jamais sorti d’une femme !
Véronar, sans doute es-tu de ces êtres à qui la cruauté tient lieu d’autorité et d’intelligence. Mais à mes yeux, tu n’apparais que comme le plus ignoble tas de stupidité graisseuse qui soit jamais sorti d’une femme !
Véronar, sans doute es-tu de ces êtres à qui la cruauté tient lieu d’autorité et d’intelligence. Mais à mes yeux, tu n’apparais que comme le plus ignoble tas de stupidité graisseuse qui soit jamais sorti d’une femme !
Maudits soyez-vous tous les trois ! Je devrais vous tuer sans plus attendre... Mais votre mort ne délivrerait pas Aaricia de l'enchantement où vous l'avez plongée. J'irai donc jusqu'au bout des épreuves que vous m'imposez. Avec un seul espoir : celui d'y trouver le moyen de vous anéantir.
Maudits soyez-vous tous les trois ! Je devrais vous tuer sans plus attendre... Mais votre mort ne délivrerait pas Aaricia de l'enchantement où vous l'avez plongée. J'irai donc jusqu'au bout des épreuves que vous m'imposez. Avec un seul espoir : celui d'y trouver le moyen de vous anéantir.
Maudits soyez-vous tous les trois ! Je devrais vous tuer sans plus attendre... Mais votre mort ne délivrerait pas Aaricia de l'enchantement où vous l'avez plongée. J'irai donc jusqu'au bout des épreuves que vous m'imposez. Avec un seul espoir : celui d'y trouver le moyen de vous anéantir.
Maudits soyez-vous tous les trois ! Je devrais vous tuer sans plus attendre... Mais votre mort ne délivrerait pas Aaricia de l'enchantement où vous l'avez plongée. J'irai donc jusqu'au bout des épreuves que vous m'imposez. Avec un seul espoir : celui d'y trouver le moyen de vous anéantir.
Maudits soyez-vous tous les trois ! Je devrais vous tuer sans plus attendre... Mais votre mort ne délivrerait pas Aaricia de l'enchantement où vous l'avez plongée. J'irai donc jusqu'au bout des épreuves que vous m'imposez. Avec un seul espoir : celui d'y trouver le moyen de vous anéantir.
Maudits soyez-vous tous les trois ! Je devrais vous tuer sans plus attendre... Mais votre mort ne délivrerait pas Aaricia de l'enchantement où vous l'avez plongée. J'irai donc jusqu'au bout des épreuves que vous m'imposez. Avec un seul espoir : celui d'y trouver le moyen de vous anéantir.
Maudits soyez-vous tous les trois ! Je devrais vous tuer sans plus attendre... Mais votre mort ne délivrerait pas Aaricia de l'enchantement où vous l'avez plongée. J'irai donc jusqu'au bout des épreuves que vous m'imposez. Avec un seul espoir : celui d'y trouver le moyen de vous anéantir.
Maudits soyez-vous tous les trois ! Je devrais vous tuer sans plus attendre... Mais votre mort ne délivrerait pas Aaricia de l'enchantement où vous l'avez plongée. J'irai donc jusqu'au bout des épreuves que vous m'imposez. Avec un seul espoir : celui d'y trouver le moyen de vous anéantir.
Gandalf-le-fou, tu n'es pas seulement fou, bête et cruel... Tu es aussi plus fourbe que le corbeau et plus lâche qu'un lièvre bancal.
Gandalf-le-fou, tu n'es pas seulement fou, bête et cruel... Tu es aussi plus fourbe que le corbeau et plus lâche qu'un lièvre bancal.
Gandalf-le-fou, tu n'es pas seulement fou, bête et cruel... Tu es aussi plus fourbe que le corbeau et plus lâche qu'un lièvre bancal.
Gandalf-le-fou, tu n'es pas seulement fou, bête et cruel... Tu es aussi plus fourbe que le corbeau et plus lâche qu'un lièvre bancal.
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