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Premier printemps, troisième tome de la série "Sous les arbres" de @dav_le_dessineux, est une lecture idéale pour la saison à venir. L'histoire est remarquablement juste et émouvante, mettant en avant les liens familiaux et amicaux avec une grande tendresse. Les expressions des personnages sont riches en significations, offrant une aventure touchante de cueillette de fleurs pour maman. Recommandé à tous les publics, ce voyage sensible dans les émotions est à savourer sans modération.

Cette bande dessinée, troisième tome de la série , peut être lue dans n'importe quel ordre. J'adore autant. Cette nouvelle aventure met en scène un hibou (ou une chouette) tentant en vain de dormir pendant les chaudes journées d'été. Les agitations des jeunes animaux autour de la mare devant son arbre l'empêchent de trouver le sommeil. L'histoire, à la fois drôle et touchante, est magnifiquement dessinée dans le style des classiques Disney. Superbe dessinateur qu'est Dav.

Ce nouveau tome de la série "Sous les arbres" continue de charmer avec les superbes dessins de Dav, rappelant l'esthétique des classiques Disney dessinés à la main. Dans cette histoire hivernale, un renard lutte contre une écharpe rebelle, offrant des gags simples mais savoureux. Les chutes et les péripéties du renard sont irrésistibles, d'autant plus qu'il exprime son mécontentement. L'arrivée d'une jolie renarde ajoute une touche de romance à cette histoire.

Monsieur Grumpf, un blaireau bien bourru, tente en vain de préparer son terrier pour l'hibernation, mais est constamment interrompu par ses voisins. Malgré son caractère grognon, il démontre un grand cœur. Cette courte bande dessinée, idéale pour les premières lectures ou en lecture accompagnée, offre une belle leçon d'entraide et de solidarité. Avec ses illustrations chaleureuses, ses adorables animaux et ses couleurs vives, elle séduira les jeunes lecteurs. La suite de la série, abordant l'hiver et l'été, promet de nouvelles aventures avec des animaux forestiers. Une invitation à se plonger dans un monde sous les arbres.

Cet album de Mistinguette, dans la lignée du premier tome, présente une héroïne toujours aussi fraîche, dynamique et attachante. En vacances, elle découvre l'importance de faire de nouveaux choix et de construire sa personnalité. L'histoire aborde les thèmes de l'amitié, de l'amour et de la construction personnelle, avec en bonus des pages de cahiers de vacances personnalisées par Mistinguette. Cette BD offre un vent de fraîcheur et est très appréciée par les jeunes lecteurs, ainsi que par les parents.

Mistinguette, une série fraîche et girly, est un énorme succès auprès de ma fille de 11 ans, qui s'identifie à l'héroïne. Chloé, alias Mistinguette, entame sa quatrième année dans un nouveau collège, confrontée aux défis de l'intégration et des relations sociales. Cette BD aborde avec humour les préoccupations des adolescents : amitié, popularité, et bien sûr, les premiers émois amoureux. Chloé, une adolescente comme les autres, fait des erreurs mais reste attachante. Les illustrations, résolument girly, ajoutent à l'attrait de la série. Mistinguette parle aux pré-ados et ados, leur offrant des situations familières et rassurantes de la vie au collège.

Cartoon est l'histoire du chat de Mistinguette, connu pour ses facéties. Chloé, l'une de ses amies, souhaite ardemment avoir un chat et persuade ses parents d'adopter Copain, un adorable chaton. La bande dessinée raconte comment Copain devient Cartoon et trouve sa place dans la famille, à travers des aventures amusantes avec son papa un peu gauche. Cette histoire, girly et charmante, offre un aperçu de la vie de chat, bien que trop courte, elle vient agréablement compléter l'univers de la BD Mistinguette

Erwann a surmonté la mort de son frère et s'est imposé dans le monde du skate. Alors que le confinement se lève, il se retrouve face à de nouveaux défis : rejoindre son père à Londres ou suivre l'équipe de France pour Paris 2024. L'histoire évolue, avec son lot de surprises et d'épreuves à surmonter. Les scènes de skate sont bien représentées par Yann Cozic, mais l'ensemble reste fluide. Une conclusion positive qui laisse espérer de nouvelles aventures pour Erwann en 2024.

Dans ce deuxième tome, l'histoire s'appuie avec succès sur les bases du premier. Erwann jongle avec le souvenir de son frère prodige du skate, le départ imminent de son père pour l'Angleterre et les difficultés financières de sa mère. Sa rencontre avec Megan, une skatrice exceptionnelle, apporte un nouveau souffle. Malgré ses propres luttes intérieures, notamment la révélation de l'homosexualité de son frère, Erwann trouve du réconfort dans l'amitié. Le style graphique est acceptable, mais aurait pu être plus développé. Toutefois, les figures de skate sont bien représentées, ce qui reste le point fort de cette bande dessinée.

Erwann est une BD jeunesse rafraîchissante sur l'univers du skate, écrite par Cédric Mayen, connu pour son travail sur Edelweiss. Avec des dessins de Cozic, l'histoire aborde frontalement le thème du deuil à travers un jeune passionné de skateboard. Les amateurs de figures seront comblés, mais malgré son côté humain, l'intrigue manque parfois d'élan. Néanmoins, cela reste un titre qui saura plaire aux jeunes amateurs de skate et au public jeunesse en quête de nouvelles lectures.

Nikki, ingénieuse et déterminée, cherche à résoudre la malédiction frappant son village et sa famille. Elle est accompagnée de Perko, son robot, dans cette aventure pleine d'humour. La narration présente des éléments de passé des personnages, créant une certaine confusion mais offrant une bonne introduction à l'histoire. J'attends, pour autant, avec impatience, l'action et les réponses dans les prochains tomes.

Un brillant exercice de style dans le roman noir avec une touche Chandlerienne, explorant les mystères de la création artistique et des substances hallucinogènes. Le dessin parfaitement adapté. À lire avec une perspective sérieuse et ironique.

L'album introductif m'a séduit avec son atmosphère authentiquement bretonne, bien que perfectible. La première partie, calme et délibérée, réussit à immerger le lecteur dans la région côtière. Le polar qui démarre après une vingtaine de pages est bien rythmé, mais la conclusion manque d'illustrations explicatives, ce qui la rend moins compréhensible. Graphiquement, le dessinateur excelle dans les visages, mais le manque de précision dans les décors donne un aspect de croquis préparatoires. Malgré ces critiques, l'ambiance aiguisée m'a convaincu de poursuivre la série, recommandée aux amateurs de polars bretons à la Mary Lester de Jean Failler.

Une BD émouvante en noir et blanc : L'enfance, la campagne, et une relation unique avec un grand-père pêcheur.