6 Pieds Sous Terre

Comme un frisson
Renata est une jeune fille mal dans sa peau. Depuis quelques temps, elle ressent d’étranges frissons qui se révèlent être une sorte de pouvoir : elle pressent les menaces. Malgré ce don, elle n’a pas pu prévenir le vol de son ordinateur. Au hasard d’une soirée, elle retrouve les voleurs mais les deux compères ne lui rendent pas de suite son précieux bien : commence alors un jeu vicieux de chantage et de mise en confiance, une aventure entre marginaux qui, chacun à leur manière, cherchent leur place.

Littérature pour tous
Copain, tu tiens entre les mains une chic bande dessinée ! Grâce à Littérature pour tous, tu connaitras, sans peine, et sur le bout des doigts, près de 14 grands romans français ! Et tout celà sans avoir avoir eu besoin de te plonger dans des gros livres sans images que l'on t'impose à l'école !

Ils brûlent - Cendre et rivière
Dans un monde médiéval hostile où sévit une implacable chasse aux sorcières, le jeune Georg aide Ongle et Pluie, deux étranges jeunes filles au passé traumatique, à fuir le Sanctuaire, une prison de l'inquisition. Dotées de pouvoirs effrayants pour le commun des mortels et bien incapables d'expliquer leurs origines, ni même qui elles sont, Ongle et Pluie, accompagnées de Georg, se lancent dans une errance désespérée à travers le pays. Où trouver cependant un lieu sûr, dans ce monde qui veut leur mort ? D'autant qu'un implacable inquisiteur, surnommé Le Mage, est sur leurs traces et semble capable de les trouver jusque dans leur rêves. Recevront-iels l'aide de cette étrange voix venue des tréfonds de la forêt dans laquelle iels s'enfoncent inexorablement ?

-20% sur l'esprit de la forêt
Inutile d'insister, il est trop rapide... Il se tape sur la fesse plus fort que nous... Il nous a échappé. Il ne nous reste plus qu'à placarder des avis de recherches avec son portrait dans tous le pays ! Est-ce que quelqu'un ici sait dessiner ?

Moon River

Mal dominant - One man show
Derrière chaque MOB, (mâle occidental blanc), c'est un homme qui se cache.

La voie de Calliopée
"Depuis la nuit des temps, l'homme a toujours voulu rejoindre les Dieux. Le voyage est long, rempli d'obstacles et de dangers, c'est pour cela qu'un bateau-idole en marbre, parfaitement taillé en creuset, peut être un merveilleux compagnon de route. Agaric le Jeune, sculpteur royal fatigué, a bien du malheur. En effet, ce n'est pas lui qui se fait écraser par la monumentale idole qu'il vient de terminer, mais son assistant : signe qu'il n'est donc pas prêt à rejoindre les dieux... De plus, son énergumène de roi, visité par un rêve, exige de lui une tâche impossible : une nouvelle idole de pierre capable de flotter. Pour l'aider à accomplir sa tâche, le roi offre à Agaric un grand bloc de marbre, la promesse de finir ses jours écrasé par l'idole au terme de sa réalisation, cinq nouveaux assistants ainsi qu'une nouvelle épouse du nom de Calliopée... La voie de Calliopée trace l'histoire d'un sculpteur perdu dans ses doutes, évoque la notion de pouvoir, celui du roi sur Agaric et celui d'Agaric sur ses apprentis. Mais c'est aussi et surtout l'histoire d'une femme, Calliopée, de velléités émancipatrices, de création, de liberté, d'envies, de vie".

Et si l'amour c'était aimer ?
Sandrine et Henri coulent des jours paisibles dans leur villa luxueuse. Henri est un patron de startup épanoui et dynamique et Sandrine l'admire. Mais hélas la vie n'est pas un long fleuve tranquille... Un beau jour, Sandrine tombe sous le charme de Michel, un brun ténébreux livreur à domicile et chanteur de rock à ses heures perdues. Sandrine et Henri coulent des jours paisibles dans leur villa luxueuse. Henri est un patron de startup épanoui et dynamique et Sandrine l'admire. Mais hélas la vie n'est pas un long fleuve tranquille... Un beau jour, Sandrine tombe sous le charme de Michel, un brun ténébreux livreur à domicile et chanteur de rock à ses heures perdues. Une idylle merveilleuse va alors se nouer entre eux. Mais la vie est-elle toujours du côté de l'amour ? Les sentiments purs et absolus ne sont-ils pas qu'une feuille morte emportée par le vent ? Un arc-en-ciel ne finit-il pas toujours par disparaître derrière les nuages ? Un hommage appuyé aux romans-photos et à tout ce que l'amour a pu inspirer pour vendre du papier aux amateurs et amatrices de roman à l'eau de rose. Si vous pensiez avoir fait le tour de la question sur ce genre de littérature, laissez-nous vous soumettre l'idée qu'on peut aller encore un peu plus loin, grace à Fabcaro.

Kusturica et moi
Beaucoup d'humour et une touche de folie teintent le récit poético-absurde des frères Thouin, qui nous plongent dans des problématiques liées à la post-adolescence : les racines, les repères, l'avenir. Amateurs de cinéma et d'humour absurde se retrouveront dans cette confrontation hirsute entre un jeune étudiant en cinéma et l'un de ses maîtres à l'écran. Dans Kusturica et moi , Hugo, 23 ans, doit écrire un mémoire dans le cadre de ses études de cinéma. Il s'isole, le temps d'un été, dans la maison de vacances familiale située sur la Côte d'Azur. Du mémoire, il a déjà le titre, un début de problématique, mais c'est un peu léger pour l'instant et ça commence à devenir angoissant... Hugo n'y arrive pas. C'est la panne, le syndrome de la page blanche, la léthargie totale. Pourtant il ne manque pas de réflexions brillantes sur son sujet : " La tradition orale dans le cinéma d'Emir Kusturica ". Hugo a vu tous les films, il a tout en tête, mais rien ne vient. Suite à de nombreuses journées de ruminations et de désespoir, Hugo s'autorise une sortie à la plage. Le croirez-vous s'il raconte qu'il tombe nez à nez avec Emir Kusturica lui-même ? Cette rencontre improbable va chambouler son été, déconstruire ses certitudes et façonner la rédaction chaotique de ce fichu mémoire. Beaucoup d'humour et une touche de folie teintent le récit poético-absurde des frères Thouin, qui nous plongent dans des problématiques liées à la post-adolescence : les racines, les repères, l'avenir. Amateurs de cinéma mais aussi d'humour absurde se retrouveront dans cette confrontation hirsute entre un jeune étudiant en cinéma et l'un de ses maîtres à l'écran.

Lendemain de cuite avec Lucrèce
Ainsi s’ouvre le nouveau livre de Denys Moreau : un matin au réveil, une partie de la soirée précédente échappe à la mémoire du narrateur. il est assailli par de terribles symptômes touchant aussi bien au corps qu’à l’esprit. dans son lit se trouve... lucrèce. enfin métonymiquement, puisque c’est le texte De la nature des choses qui partage ses draps. Vous l’avez compris, notre conteur a la gueule de bois, confirmant ainsi le titre : Lendemain de cuite avec Lucrèce. il nous emmène naviguer dans le texte philosophique (avec des vrais morceaux de lucrèce dedans), slalomant entre les affres de son indisposition, et menant une enquête digne d’un épisode du commissaire Maigret. si le suspense qui tend l’intrigue préserve entièrement le mystère, la chute relève d’une logique implacable. Après l’hilarant Spinoza, un kif compliqué, où il partage sa lecture douce-amère de l’éthique de spinoza, denys Moreau repart à l’attaque d’une autre figure monumentale de la philosophie : lucrèce.

Formica - Une tragédie en trois actes
C'est dimanche, c'est le jour du repas en famille, tout le monde est ravi de se retrouver ensemble autour de la table. Alors que tout est prévu pour faire de ce rendez-vous un moment d'amour et de partage surgit tout à coup la question à laquelle personne n'avait pensé : De quoi on pourrait parler ? Formica, une tragédie en trois actes, le nouveau livre de Fabcaro (l'auteur de Zaï Zaï Zaï Zaï) est construit comme une pièce de théâtre, avec une unité de lieu et de temps, et découpé en trois actes. Formica rassemble, au delà de la famille protagoniste du récit, tout ce qu'on a jamais osé faire et dire lors de nos repas de famille.

La Femme d'argile

Et si l'amour c'était d'aimer ?
Sandrine et Henri coulent des jours paisibles dans leur villa luxueuse. Henri est un patron de startup épanoui et dynamique et Sandrine l'admire. Mais hélas la vie n'est pas un long fleuve tranquille... Un beau jour, Sandrine tombe sous le charme de Michel, un brun ténébreux livreur à domicile et chanteur de rock à ses heures perdues. Une idylle merveilleuse va alors se nouer entre eux. Mais la vie est-elle toujours du côté de l'amour ? Les sentiments purs et absolus ne sont-ils pas qu'une feuille morte emportée par le vent ? Un arc-en-ciel ne finit-il pas toujours par disparaître derrière les nuages ?
Un hommage appuyé aux romans-photos et à tout ce que l'amour a pu inspirer pour vendre du papier aux amateurs et amatrices de roman à l’eau de rose. Si vous pensiez avoir fait le tour de la question sur ce genre de littérature, laissez-nous vous soumettre l'idée qu'on peut aller encore un peu plus loin, grâce à Fabcaro.

La petite couronne
Loin des gros titres anxiogènes des médias et des banlieues qui brûlent, selon certains politiques, si on allait écouter ceux qui y vivent ; suivre les traces de ces pères de famille, entre les courses, les gamins à conduire au sport et les déménagements nocturnes. Ils ont bien grandi les gamins de TMLP (Ta mère la pute, paru en 2011), aujourd'hui ce sont les pères et les grands frères de la communauté. Et s'il y a toujours un crétin qui vend du shit dans le hall de l'immeuble, ils ont une solution pour lui pourrir le business. Et même s’ils font des crises de rage face aux petits caïds, Ils n'oublient pas qu'il y a plus important, comme payer la cantine des gosses. Les gamins sont maintenant des tontons presque assagis, ceux qui veillent que ça ne parte pas en vrille à la moindre connerie. Presque aussi surpris que nous, ils constatent que la garderie a remplacé la garde à vue dans leurs agendas. Le temps a passé sur toute une génération.
À la suite de TMLP (les années d'enfances) puis de Temps mort (en jeunes adultes dans la spirale de la crise sociale), Gilles Rochier replonge dans la chair de son milieu et brosse, avec La petite couronne, le portrait de sa génération, à l'aube de la cinquantaine, de l'expérience plein les poches - y a de la place - et toujours plus d’amour dans les yeux.

Le Collectionneur de briques

Mikaël, ou le mythe de l'homme des bois

Plageman

Qu'importe la mitraille

Les Nouvelles aventures du chat botté

A montréal

Velue

Chroniques Franco-Hollandaises - An III

Zaï Zaï Zaï Zaï
Un auteur de bande dessinée, alors qu’il fait ses courses, réalise qu’il n’a pas sa carte de fidélité sur lui. La caissière appelle le vigile, mais quand celui-ci arrive, l’auteur le menace et parvient à s’enfuir. La police est alertée, s’engage alors une traque sans merci, le fugitif traversant la région, en stop, battant la campagne, partagé entre remord et questions existentielles.
Assez vite les médias s’emparent de l’affaire et le pays est en émoi. L’histoire du fugitif est sur toutes les lèvres et divise la société, entre psychose et volonté d'engagement, entre compassion et idées fascisantes. Car finalement on connaît mal l’auteur de BD, il pourrait très bien constituer une menace pour l’ensemble de la société.
Voici le nouveau récit choral de l’imparable Fabcaro, entre road-movie et fait-divers, l’auteur fait surgir autour de son personnage en fuite, toutes les figures marquantes -et concernées- de la société (famille, médias, police, voisinage...) et l’on reste sans voix face à ce déferlement de réactions improbables ou, au contraire, bien trop prévisibles.

Feu de paille

Chroniques franco-hollandaises - An II

La Cicatrice
Dans La cicatrice, Gilles Rochier se penche sur la vie d’un jeune couple de trentenaire, Denis et Sophie, partagé entre le travail, la rénovation d’un appartement et la vie familiale. Denis et Sophie vivent en région parisienne, travaillent dans de grandes entreprises : peu de temps pour communiquer, pas de nuage non plus. Un jour, Denis remarque une cicatrice sous son bras dont les causes lui échappent totalement. Accaparé par une vie professionnelle intense qu’il semble mener sereinement, c’est avec discrétion et obsession que Denis va tenter d’obtenir de la part de son entourage des indices et des bribes d’explications sur l’origine de cette cicatrice. C'est le début d’une introspection, d’un retour sur soi et son passé qui commence. Après le succès de son précédent ouvrage paru en 2011, TMLP (Prix révélation 2012 au Festival International de la bande dessinée d’Angoulême, Prix des Lycéens et apprentis Îles de France, Maison des écrivains 2012, Prix des Lycéens et apprentis Région PACA, Centre régional du livre, 2013), Gilles Rochier nous propose de nouveau une histoire dense et à fleur de peau, où le tragique point dans les interstices du quotidien.

Dans ma maison de papier
La mort vient rendre visite à une vieille dame, il est temps... Tel Antonius Block dans Le septième sceau d’Ingmar Bergman, la vieille dame (nommée Emma), engage un dialogue avec le funeste visiteur. Est-ce pour retarder l’échéance ou n’est-ce, l’espace d’un instant, que le questionnement métaphysique sur sa vie passée et son sens ? Une petite fille du nom d’Aimée, apparaît, les souvenirs affluent, la curiosité de l’enfant se déploit, les lieux changent... la mort attend.

Carnet du Pérou - Sur la route de Cuzco
Depuis une dizaine d'années, Fabcaro trace sa route d'auteur à travers des bandes dessinées pleines d'humour et d'autodérision, oscillant entre autobiographie et rire grinçant, seul ou officiant au scenario pour d'autres.
En décembre 2011, lors d'un atelier en pays Cathare, il croise la route d'une jeune plasticienne en résidence, originaire de Cuzco, qui, selon lui, « dégageait une énergie qu'on sentait jaillie de cette terre lointaine dont je ne savais rien ». Entre eux va naître une forte complicité artistique et humaine. Dès lors, il n'a qu'une obsession : se rendre dans ce pays. Ce qu'il finira par faire en juillet 2012, s'engageant dans un périple qu'il souhaite le moins préparé possible afin d'en conserver toute l'authenticité, la virginité du voyageur qui a tout à découvrir, refusant d'être parasité par les clichés et les préjugés.
Il va alors s'immerger dans un univers fascinant dont il découvre jour après jour la richesse et la diversité des mythes, rites et croyances. Il va croiser des destins, s'émouvoir, tisser des liens forts mais aussi approfondir une culture indigène dont les détails pittoresques le feront plonger dans une altérité salvatrice. Il en reviendra profondément transformé. Jusque dans son travail : changeant de cap et délaissant l'humour qui était jusque là sa marque de fabrique, pour ramener un carnet poignant et plein d'humanité, vrai voyage philosophique aux portes d'un ancien monde qui n'a pas encore été entièrement submergé par la modernité.
Ainsi, ce Carnet du Pérou est aussi la description du parcours d'un homme profondément remué dans ses fondements et ses certitudes, à l'orée d'un revirement artistique salvateur, découvrant que l'autobiographie peut être aussi un exercice ouvert sur le monde, tourné vers l'autre plutôt que sur soi. Apprendre enfin à se décentrer afin de devenir un modeste passeur, témoin de trésors insoupçonnés d'humanité dont regorge l'extérieur.

Chroniques franco-hollandaises - An I

L'Amour infini que j'ai pour toi

Hypocondrie(s)

365 fois 77,8

Comme un plateau

taches

L’amerique
A l'âge de 16 ans, Karl Rossmann est exilé en Amérique par ses parents pour avoir eu une liaison avec la cuisinière de la maison, à qui il a fait un enfant. Juste avant de débarquer, il reste sur le bateau afin de défendre, auprès du capitaine, la cause d'un soutier soi-disant victime d'une injustice. Cet incident lui permet d'être reconnu par son oncle, le sénateur Jacob, qui le prend sous sa protection et s'applique à faire son éducation. Karl rencontre deux amis de l'oncle Jacob, M. Green et M. Pollunder. Ce dernier l'invite dans sa villa de campagne où il fait la connaissance de sa fille Clara. Mais il se rend compte trop tard qu'il a accepté cette invitation contre la volonté de son oncle. A minuit, M. Green lui remet une lettre dans laquelle le sénateur, à son tour, le condamne à l'exil et l'oblige à se débrouiller seul. A l'auberge où il fait halte, après avoir quitté en pleine nuit la villa de Monsieur Pollunder, Karl rencontre deux vagabonds aventuriers, Robinson l'Irlandais et Delamarche le Français. Il les accompagne afin de trouver du travail dans une ville à deux jours de marche de New-york mais il les abandonne bien vite pour prendre un emploi de groom dans un hôtel.

Un Portrait de moitié Claire
Un portrait de moitié Claire est inspiré et nourri par un conte de Philippe Dorin, Moitié Claire qui évoque symboliquement le développement de la sexualité d’une petite fille.
Claire a environ 35 ans et comme beaucoup de femmes aujourd’hui, elle ne se fond pas dans le reflet sociétal du modèle féminin. Ses compagnons sont partis les uns après les autres, elle vit seule, et le manque affectif est au centre de sa vie. Partant de ce présent dificille, son portrait part explorer son identité intérieure et secrète.
Il se dessine, au fur et à mesure, en scènes successives : les souvenirs d’enfance heureuse où elle exprime une sexualité libre et innocente, l’abandon, les paroles maladroites de sa mère, ses rivales, les rêves amoureux que fait Claire dans sa misère affective, la souffrance de se sentir différente.
Ainsi, dans le portrait de Claire adulte, flotte et danse l’ombre de Claire enfant. Le récit, en forme de monologue, s’écoule au fil de ses pensées, sans volonté chronologique, la réalité de Claire et son imaginaire sont indissociables. Les images se concentrent sur Claire, elles explorent son corps, s’approchent de sa peau, regardent l’intime, pénètrent en elle. On suit Claire dans sa maison, dans ses longues promenades, dans les paysages mentaux de sa solitude.
Un portrait de moitié Claire s’inscrit dans la continuité d’autres livres de PIerre Duba comme Sans l’ombre d’un doute et Racines, tout en s’aventurant dans des paysages plus intimistes sur le questionnement de l’identité, de la femme et de sa sexualité.

Mortefauche

Nu

L'homme qui flottait & autres histoires

June

White River Junction (pendant ce temps à)

-20% sur l'esprit de la forêt
Inutile d'insister, il est trop rapide... Il se tape sur la fesse plus fort que nous... Il nous a échappé. Il ne nous reste plus qu'à placarder des avis de recherches avec son portrait dans tous le pays ! Est-ce que quelqu'un ici sait dessiner ?

Spéciale dédicace à mamie

On a mangé Zidane

Retour à Plouc-Land

L'épi

La mécanique de l'angoisse

Rorschach
Cela fait 35 ans qu'Ozymandias a téléporté un monstre tentaculaire sur New York, tuant des milliers de personnes et détruisant une fois pour toutes la confiance du public dans ses protecteurs. Depuis cette catastrophe, Rorschach est devenue une icône culturelle fascinante, symptôme d'un monde en perte de repères. Lors de la tentative d'assassinat d'un candidat populiste, on abat un homme portant le masque de Rorschach. Qui est l'homme derrière le masque, et surtout quelles étaient ses motivations ? L'inspecteur chargé de découvrir la véritable identité du tueur abattu s'engage alors dans une enquête qui l'entraîne dans un méandre de conspirations, d'invasions extraterrestres, de bienfaiteurs en disgrâce, de visions mystiques et même de bandes dessinées.

TMLP Ta mère la pute

A Ouessant dans les choux
Contacté pour une résidence artistique sur l'île d'Ouessant, dans le cadre du Festival de Penmar'ch, Nicoby voit là une belle occasion de prendre un peu de recul par rapport à son quotidien. Pour convaincre sa tendre moitié d'acquiescer sans réserve, il propose de profiter de cet isolement temporaire, loin des tentations caloriques, pour entamer un régime. Joindre l'utile à l'agréable en quelque sorte. C'est décidé, ce sera ermitage au sémaphore d'Ouessant et soupe au chou pendant 15 jours.